Retour de là où j'étais convoqué.
Arrivé à N.
J'aimerais que tu aies eu une pensée pour moi, dans le courant de cet après midi.
vendredi 16 juin 2017
dimanche 11 juin 2017
Un petit mot
Un mot ; juste un petit mot de compassion en réaction au second SMS que je t'ai envoyé hier. J'aurais aimé, et j'aimerais encore, recevoir cela de ta part. Cela me dirait que tu ne méprises pas, ne me hais pas au point d'ignorer cela.
Je sais bien que tu n'y es pour rien dans cette coïncidence !
C'est bien évidement pur hasard que cette lettre de convocation à un entretien préalable à un éventuel licenciement soit arrivée le jour même de ton anniversaire, auquel je pensais très fort ! Il n'empêche, même si c'est totalement irrationnel, cette coïncidence m'a transpercé.
J'aurais aimé, et j'aimerais encore, un mot ; juste un petit mot, de compassion, venant de toi, face à cela et à ce qui est en train de m'arriver à nouveau.
Est-ce que je mérite ce qu'il m'arrive à nouveau ? Je ne sais pas. Je n'y vois pas clair. Je me sens immensément abattu.
S., stp, accordes moi au moins ce petit mot.
Je sais bien que tu n'y es pour rien dans cette coïncidence !
C'est bien évidement pur hasard que cette lettre de convocation à un entretien préalable à un éventuel licenciement soit arrivée le jour même de ton anniversaire, auquel je pensais très fort ! Il n'empêche, même si c'est totalement irrationnel, cette coïncidence m'a transpercé.
J'aurais aimé, et j'aimerais encore, un mot ; juste un petit mot, de compassion, venant de toi, face à cela et à ce qui est en train de m'arriver à nouveau.
Est-ce que je mérite ce qu'il m'arrive à nouveau ? Je ne sais pas. Je n'y vois pas clair. Je me sens immensément abattu.
S., stp, accordes moi au moins ce petit mot.
vendredi 9 juin 2017
Bonne nuit
Je viens de faire deux, trois pas dehors. On ne voit pas beaucoup d'étoiles dans le ciel ; mais la lune est magnifique.
Est-ce qu'un avion qui passe en silence très haut dans le ciel peut remplacer une étoile filante ?
Bonne nuit, S. Je te souhaite une nuit paisible.
Est-ce qu'un avion qui passe en silence très haut dans le ciel peut remplacer une étoile filante ?
Bonne nuit, S. Je te souhaite une nuit paisible.
jeudi 8 juin 2017
mercredi 7 juin 2017
Pour ton anniversaire
Pour ton anniversaire, je t"enverrais une carte, un sms ?
Je peine à choisir.
L'un ou l'autre ; mais carte ou sms ?
Tu préférerais quoi ?
La question a un coté idiot, je sais.
Ne m'en veux pas trop de te poser cette question. Elle est là, en moi. Besoin de l'exprimer ici à défaut des autres choses.
Je peine à choisir.
L'un ou l'autre ; mais carte ou sms ?
Tu préférerais quoi ?
La question a un coté idiot, je sais.
Ne m'en veux pas trop de te poser cette question. Elle est là, en moi. Besoin de l'exprimer ici à défaut des autres choses.
dimanche 4 juin 2017
Exact ou pas exact ?
Je me dis que tu es passé sur ces pages hier vers 23 heures, et aujourd'hui vers 21 heures.
Exact ou pas exact ? J'espère que je le saurais un jour.
Si c'est exact, faut vraiment que l'on s'en sorte de ce cercle infernal ! Non ?
Moi de t'écrie ici sans recevoir réponse aucune.
Toi de me lire ici sans donner réponse aucune.
Moi, je n'arrive pas à arrêter d'écrire ici en l’état du blocage dans lequel nous sommes enfermés.
Il faut que je te voie. J'arriverais à franchir le pas de te le demander ailleurs qu'ici. Mais pourquoi attendre cela pour me répondre ?
Bisous nuit.
Ne fulmines pas de ce "bisous nuit" clin d’œil ; il y a des immensités de tendresse dans ce "bisous nuit".
Exact ou pas exact ? J'espère que je le saurais un jour.
Si c'est exact, faut vraiment que l'on s'en sorte de ce cercle infernal ! Non ?
Moi de t'écrie ici sans recevoir réponse aucune.
Toi de me lire ici sans donner réponse aucune.
Moi, je n'arrive pas à arrêter d'écrire ici en l’état du blocage dans lequel nous sommes enfermés.
Il faut que je te voie. J'arriverais à franchir le pas de te le demander ailleurs qu'ici. Mais pourquoi attendre cela pour me répondre ?
Bisous nuit.
Ne fulmines pas de ce "bisous nuit" clin d’œil ; il y a des immensités de tendresse dans ce "bisous nuit".
Tristesse
Tristesse, tristesse profonde.
Sensation que tu as lu mes posts à propos de ce weekend. Et tu ne m'as pas répondu.
Tristesse, tristesse profonde.
Comprends-tu ce que je peux ressentir ?
Pourquoi ne me réponds tu pas ?
Que ressent tu, toi, de ton coté ?
Dis-moi, dis-moi, dis-moi.... Stp, S., dis-moi.
Qu'est qui t’empêche ?
Sensation que tu as lu mes posts à propos de ce weekend. Et tu ne m'as pas répondu.
Tristesse, tristesse profonde.
Comprends-tu ce que je peux ressentir ?
Pourquoi ne me réponds tu pas ?
Que ressent tu, toi, de ton coté ?
Dis-moi, dis-moi, dis-moi.... Stp, S., dis-moi.
Qu'est qui t’empêche ?
samedi 3 juin 2017
C'est très con je trouve le fait que je n'ose pas
Je t'imagine là, en ce moment, à cette heure là, chez toi. A quelques kilomètre de moi, seulement.
Je t'ai demandé sur ces pages que tu acceptes de me voir ce weekend. Aucune réponse. Mais lis-tu encore ces pages, lis-tu encore ces messages que je te lance ? Parfois je me dis que "oui" ; d'autres fois que "non".
J'y ai cru que tu me répondrais ! Je l'ai espéré, comme on peut croire en Dieu. Je l'espère encore, quelque part. Les miracles, ça existe ! Même si c'est rare.
Qu'est-ce qui t'empêche de m'accorder cela ?
Ce matin, entre quatre et sept heures il me semble, j'ai brièvement rêvé de toi. Un fraction de seconde, le temps de croiser ton regard. je le voyais me disant "oui, ok, d'accord, si tu y tiens tant." Avec une forme de lassitude et beaucoup de bienveillance. je me suis réveillé là dessus avec la sensation que c'était une vraie communication entre nous, une forme de communication télépathique. Illusion ? Je ne sais pas.
C'est très con je trouve le fait que je n'ose pas t'appeler, t'envoyer un SMS, ou venir sonner à ta porte, comme je m'étais dit que je le ferais. Est-ce un soulagement pour toi ?
Qu'est-ce qui t'empêche de m'accorder cet échange ?
J'aimerai entendre mon téléphone sonner ou biper et que ce soit toi. Mieux encore : voir ta voiture arriver !
S., stp. Qu'est-ce qui t'empêche de m'accorder cet échange ? Si tu lis ces lignes, me haïs-tu à ce point que tu ne puisses pas m'accorder cela ?
J'aimerai entendre mon téléphone sonner ou biper et que ce soit toi. Mieux encore : voir ta voiture arriver !
Je t'ai demandé sur ces pages que tu acceptes de me voir ce weekend. Aucune réponse. Mais lis-tu encore ces pages, lis-tu encore ces messages que je te lance ? Parfois je me dis que "oui" ; d'autres fois que "non".
J'y ai cru que tu me répondrais ! Je l'ai espéré, comme on peut croire en Dieu. Je l'espère encore, quelque part. Les miracles, ça existe ! Même si c'est rare.
Qu'est-ce qui t'empêche de m'accorder cela ?
Ce matin, entre quatre et sept heures il me semble, j'ai brièvement rêvé de toi. Un fraction de seconde, le temps de croiser ton regard. je le voyais me disant "oui, ok, d'accord, si tu y tiens tant." Avec une forme de lassitude et beaucoup de bienveillance. je me suis réveillé là dessus avec la sensation que c'était une vraie communication entre nous, une forme de communication télépathique. Illusion ? Je ne sais pas.
C'est très con je trouve le fait que je n'ose pas t'appeler, t'envoyer un SMS, ou venir sonner à ta porte, comme je m'étais dit que je le ferais. Est-ce un soulagement pour toi ?
Qu'est-ce qui t'empêche de m'accorder cet échange ?
J'aimerai entendre mon téléphone sonner ou biper et que ce soit toi. Mieux encore : voir ta voiture arriver !
S., stp. Qu'est-ce qui t'empêche de m'accorder cet échange ? Si tu lis ces lignes, me haïs-tu à ce point que tu ne puisses pas m'accorder cela ?
J'aimerai entendre mon téléphone sonner ou biper et que ce soit toi. Mieux encore : voir ta voiture arriver !
Est-ce un instant de lucidité ?
Ce qui fait que je suis toujours si insistant, trois ans après ???
Ce qui fait que je suis si insistant et que je ne me remets
pas de notre rupture.... Je me dis "à l'instant" que c’est très simple : c’est que je t’ai voué, et continue
de te vouer, un amour total et sans réserve, imperceptible. Car, un tel amour, ça ne s’efface pas.
A partir de quand cela est nait en moi ? Je ne sais pas.
Je sais juste que dès le premier weekend chez toi, j’ai espéré en la possibilité
d’une histoire au long cours avec toi.
Bien sûr, il y a eu mon début de dérive à Esther ! Et
tout ce que je n’ai pas su faire comme il aurait fallu pour ne pas perdre ton
amour. Oui. Mais, cela n’enlève rien à mon propos. Je te l’assure. Le fait que
je n’ai su faire gaffe à l’Amour n’est pas une mesure de l’intensité de mon
amour. Ça n’en indique pas le poids, la forme, la taille, la couleur, l’intensité,
etc.
Perdre « l’objet » d’un tel amour, un amour total et sans réserve … c’est
juste impossible de s’en remettre jamais totalement !
Il restera toujours en moi ce manque profond, cette blessure,
ce gout amer de paradis perdu que j’espérais conquérir avec toi.
Tes refus de tout contact, de tout dialogue entre nous, de
toute poursuite de relation entre moi et tes enfants, tes silences assourdissants
m’étouffent.
Et toi, et toi, et toi, i tu lis toujours mes posts, que
ressens-tu ? Ce que nous vivons
aujourd’hui l’un par rapport à l’autre ne t’étouffe-t-il pas et ne te
plombent-ils pas ? Peut-être certes pas autant que moi ; mais
beaucoup aussi ?
Je crois sincèrement qu’accepter me revoir, ce serait me donner une chance - que je n’arrive pas à
trouver autrement - de sortir de ce je ne sais pas quoi dans lequel je suis
enfermé.
Certes, cela n'effacerait pas la blessure (seul le retour de ton amour pourrait faire cela !) ; mais j'espère que cela m'aiderait à réussir à -
comment dire ?
"Dépasser le traumatisme" ? Oui, je crois bien que c’est de cela dont il
s’agit. C’est en tout cas ce que l’on me
dit que je ne réussis pas à dépasser blablabla.
Que risques-tu ?
Que je m’enfonce plus avant ? Que
l’on reparte pour un tour de piste avec à la clef une nouvelle rupture de ta
part et que je m’enfonce plus avant ? As-tu peur de cet amour « monstrueux »
que je te porte et dont tu ne sais que faire et dont tu ne veux aujourd’hui
plus rien faire et dont tu voudrais être débarrassé ? Le ressens-tu comme
un danger pour toi et préfères-tu dés lors l’ignorer autant que tu peux et détourner ton
regard de lui et ne pas le croiser dans mon regard ? Quel danger ?
Que faire ! Que faire pour que tu acceptes que l’on parle
ensemble de ce que l’on ressent l’un et l’autre à propos de tout cela ?
Qu'en ressens ton âme ? Tu te souviens de cette nuit là où l'on a parlé de ton âme ? Si nous avons une âme, c'est vraiment à ton âme que je tente de m'adresser en ce début de nuit. Quelque part, m'entend-t--elle , m'entendra-t-elle avant la fin de cette nuit ?
Qu'en ressens ton âme ? Tu te souviens de cette nuit là où l'on a parlé de ton âme ? Si nous avons une âme, c'est vraiment à ton âme que je tente de m'adresser en ce début de nuit. Quelque part, m'entend-t--elle , m'entendra-t-elle avant la fin de cette nuit ?
Tu peux m’appeler, me faire signe à n’importe quelle heure
du jour ou de la nuit, de celle-ci y compris. Je t'imagine de sortie. A quelle heure te seras-tu coucher cette nuit ? Te seras tu coucher seule ou pas cette nuit ?
Je sais : c'est très con et nocif que je me pose cette question là !!!!!
Je sais : c'est très con et nocif que je me pose cette question là !!!!!
jeudi 1 juin 2017
Histoire de fraises
Tout à l"heure, j'ai arroser les fraisiers.
En pensant à K. comme chaque fois que je m'occupe de ces fraisiers, comme chaque fois que je me sui occupé d'eux.
J'aimerais que tu en souris à défaut d'en rire : à force de repiquer les rejets au printemps, il y pas loin d'une centaine de pieds maintenant ! Et à chaque fois que je me suis occupé d'eux....
Je ne t'écris pas cela pour te faire mal de quelque manière que ce soit. J'espère que tu peux arriver à me croire.
Je t'écris cela comme une forme de témoignage. Témoignage de quoi ? Témoignage de moi, en somme !
Bonne nuit S. Tu veux pas qu'on se fasse le diner spectacle du cirque Samedi soir ? Ce serait je pense un bel endroit pour se revoir comme je te l'ai demandé, sans que cela soit trop pesant pour toi. Non ?
Bonne nuit, S. Pas d'ironie, d'arrière pensées etc dans ce "bonne nuit".
En pensant à K. comme chaque fois que je m'occupe de ces fraisiers, comme chaque fois que je me sui occupé d'eux.
J'aimerais que tu en souris à défaut d'en rire : à force de repiquer les rejets au printemps, il y pas loin d'une centaine de pieds maintenant ! Et à chaque fois que je me suis occupé d'eux....
Je ne t'écris pas cela pour te faire mal de quelque manière que ce soit. J'espère que tu peux arriver à me croire.
Je t'écris cela comme une forme de témoignage. Témoignage de quoi ? Témoignage de moi, en somme !
Bonne nuit S. Tu veux pas qu'on se fasse le diner spectacle du cirque Samedi soir ? Ce serait je pense un bel endroit pour se revoir comme je te l'ai demandé, sans que cela soit trop pesant pour toi. Non ?
Bonne nuit, S. Pas d'ironie, d'arrière pensées etc dans ce "bonne nuit".
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