C'était la fête des A... à N... ce weekend. J'aurais aimé vivre ce moment avec toi. Parcourir les stands aussi avec K. et E. Je crois qu'ils auraient aimés. Pensées.
Mais sans dout que de de toute manière, tes enfants étaient avec leur père, durant ce weekend qui touche à sa fin.
J'imagine que tu vas bientôt partir en vacances en bord de mer avec K. et E. Souvenirs, souvenirs..... Ces moments de bonheur - j'ai vécu ces moments comme de grands moments de bonheur - me manquent.
Ton amour me manque toujours terriblement ! Tu me manques toujours terriblement ! Je t'aime toujours.
dimanche 31 juillet 2016
mercredi 27 juillet 2016
Comment
Je bosse à nouveau. C'est dur. J'ai peur à certains moments de me faire jeter avant la fin de la période d'essai. Je m'investis "à fond". Un poste comme celui-là, à N., c'est assez rare. Et plus encore une boite prête à parier sur moi sur un poste comme ça !
Je bosse à fond. Cela mobilise mon esprit ; je pense moins souvent à toi. C'est une bonne chose, quoi qu'il en soit de toi, de moi, du monde.
Pour autant, je ne t'oublie pas. Je ressens toujours cet amour que je ressens pour toi, même si je me sens moins malade de la perte de ton amour.
Je rêve à après demain. A cet après demain où j'aurais réuni un paquet de conditions qui autrefois comptées pour toi et qu'alors je n'ai pas su satisfaire.
Je me dis que tu m'as aimé de nombreux mois en dépit de cela, avant que ces choses là, et surement d'autres (combien d'autres ? Quelles autres ?) n'usent et ne détruisent ton amour de moi. Alors, je me dis que peut-être....
Et je me demande : comment te donner envie de retenter l'aventure de l'amour avec moi ?
Je bosse à fond. Cela mobilise mon esprit ; je pense moins souvent à toi. C'est une bonne chose, quoi qu'il en soit de toi, de moi, du monde.
Pour autant, je ne t'oublie pas. Je ressens toujours cet amour que je ressens pour toi, même si je me sens moins malade de la perte de ton amour.
Je rêve à après demain. A cet après demain où j'aurais réuni un paquet de conditions qui autrefois comptées pour toi et qu'alors je n'ai pas su satisfaire.
Je me dis que tu m'as aimé de nombreux mois en dépit de cela, avant que ces choses là, et surement d'autres (combien d'autres ? Quelles autres ?) n'usent et ne détruisent ton amour de moi. Alors, je me dis que peut-être....
Et je me demande : comment te donner envie de retenter l'aventure de l'amour avec moi ?
samedi 16 juillet 2016
Bones (correction)
Ce soir, vendredi soir, à la téloche sur M6 : Bones.
Souvenirs, souvenirs....
C'est clair, que j'aurais du plus souvent venir des weekend où nous aurions pu faire autre chose que regarder la téloche, venir plus souvent des weekends où tu n'avais pas tes enfants. Mais, dans mes projections d'une histoire au très long cours, j'étais tellement avide d'être accepté par tes enfants, avide de créer les bonnes relations pour pouvoir former ce que l'on appelle, je crois, une "famille recomposée". J'ai choisi trop souvent je crois de venir quand tes enfants étaient là.
C'est clair aussi que les fois où je suis venu sans que tes enfants soient là, j'aurais du avoir plus la pêche pour te proposer de belles virées. Au lieu de cela, je m’épuisais au boulot et dans mes pb de boulot, en espérant que cela nous serait utile. Etre avec toi me suffisait. Dans "nous regardant Bones", il y avait toi, toi avec moi blottis l'un contre l'autre sur ton canapé avant de faire l'amour ensemble, et cela suffisait à me satisfaire. Trouves-tu cela con ?
C'est clair également que ta décision de rupture ne tient pas qu'à ces deux choses là ! Mais là, seul devant Bones à quelques kilomètres de toi, , je t'imagine seule devant Bones à quelques km de moi, avec tes enfants couchés dans leurs chambres chez toi. Même si ce n'est pas le cas ; même si ce n'est pas toi qui a vos enfants en ce début de période de vacances (les tiens qui sont aussi ceux de leur père...) ; même si tu es de sortie ; même si tu es, à l'instant où j'écris ces lignes, dans les bras de "truc", ou de "machine", ou de je-ne-sais-qui, ou avec "Ded...", peu importe ! En cet instant, c'est ainsi que je t'imagine. Et ce sont ces pensées qui me viennent à l'esprit.
J'ai écris dans les lignes qui précèdent "tes enfants" ; jamais, jusque là, "K. et E." Symbole (enfin !?) d'un certain désengagement de mes ressentis à leur égard ? Peut-être, même si l'un et l'autre me manquent toujours, et que je trouve toujours injuste, injustifiable, et "pas grand" l'ampleur de la coupure que tu as voulu entre eux et moi. Tout comme je trouve "pas grand" ton comportement à l'égard de ma mère depuis qu'elle est là où elle est.... Passons.
Une info. Ceux qui sont "encore" dans mes relations FB te le diront peut-être, - ou pas ! - dans les prochains jours : je viens enfin de retrouver du boulot ! Embauché depuis ce lundi 11/07. Cela me fait énormément de bien.
Ce job, c'est à N. qu'il se situe, même si cette semaine j'étais ailleurs, un peu plus au Sud, dans les locaux de la maison--mère.
Ce job, c'est pour moi une belle opportunité, un vrai challenge, pied à l'étrier, qui, si il tient, devrait, je crois, me permettre de vraiment de rebondir. Vivement la fin de la période d'essai - si cette fin doit être positive !
En plus, je ne perds que 10% par rapport à ce que je gagnais dans mon dernier job en RP ! Assez inespéré...
J'aurais dû tenter cela du temps où tu m'aimais ! Du temps où tu m'aimais, je ne croyais pas cela possible. Qu'est-ce qui fait que je n'ai pas "sondé" sérieusement le marché du travail dans la région à l'époque ? Manque de confiance ? Trop de foi dans le projet dont je m'occupais ? Trop de fatigue ? Manque de force ? Je crois que j'avais à l'époque trop de foi en ma capacité à faire aboutir le projet dont je m'occupais et trop peu de confiance et d’énergie restante en moi sur ce que je pouvais faire professionnellement ailleurs que dans le projet de banque de données où j'étais. Paradoxal. Mais peut-être aussi que je réécris les choses dans la tête.... Je ne crois pas cependant.
Divorcé, plus aucunes gamelles accroché à mes basques, un boulot dans le coin...
Si la période d'essai se passe bien, j'aurai réuni à la mi octobre au moins quelques unes des conditions qui auraient peut-être permises, du temps de ton amour de moi, de poser les base d'une histoire au très long cours entre toi et moi.
Il reste quinze ans avant mes 68 ans.... J'ai fait de la marche ce weekend avec un groupe qui comportait un gars de 68 ans. Il se tenait sacrément bien ! Après, c'est certain, notre différence d'âge... Allez, disons 10 ans ; il me reste au moins 10 / 15 ans avant de commencer à être assez vieux pour sans doute commencer à avoir du mal à te suivre au quotidien. Dix / quinze ans avant de risquer de devenir un boulet du fait de notre écart d'age. Combien avant que tu ressentes un gars de mon âge comme n'étant lus sortable à tes cotés ? Zéro ? Non, je crois pas que tu ressentes cela ainsi.
Dix ans de bonheur, ça peut valoir le coup, non ?
Si tout se passe bien coté boulot, quand j'aurais fini ma période d'essai, je tenterai de revenir vers toi de visu et je te demanderai de retenter "l'aventure" avec moi sur ces nouvelles bases. Sans engagement de ta part, a priori. Juste pour voir si, comme je le crois, on peut "se retrouver", en dépit de tout ce qui c'est passé. Tu me diras "oui", ou tu me diras "non".
Tu m'as dit et écris haut et fort (je cite) que "jamais je ne retournais avec toi" - la faute de temps est la tienne ; je veux y voir un lapsus... Je préférais que tu me dises "oui" ! J'en rêve toujours.
Si tu as retrouvé l'Amour ailleurs et que cela tiendra, tu me diras "non", et ce "non" n'aura pas grande importance dans ton futur. Si tu me diras "non", tout en ayant pas encore retrouvé l'Amour ailleurs ; mais que tu le trouveras dans quelques temps, et que cela tiendra, ce "non" n'aura cette fois encore pas grande importance dans ton futur au long cours.
En revanche, que se passera-t-il en toi, et dans ton futur au long cours, si tu me diras "non" et que jamais tu ne retrouves l'amour, de manière aussi intense que celui, me semble-t-il, qui fut le notre de manière partagée, au moins un certain temps ? Je te pose cette question, pas pour te manipuler de manière malveillante, ou juste focaliser sur mon nombril, mes envies, mes frustrations, etc ! Je te la pose en pensant à tous les regrets de ma vie - en particulier à tous les regrets que j'ai vis à vis de ce que je perçois comme sources de ton désamour...
Je t'aime toujours. En tous cas, j'éprouve toujours cette sensation. Après tous ces mois, avec tout ce qui s'est passé "entre nous" depuis ta décision de rupture, cela s'effacerait-il après quelques heures passées avec toi ? Je ne sais pas. Mais je ne crois pas. Toi, à l'inverse, es-tu bien certaine que plus jamais tu ne pourras m'aimer ?
Si tout se passe bien coté boulot, quand j'aurais fini ma période d'essai, je tenterai de revenir vers toi de visu et je te demanderai de retenter "l'aventure" avec moi. Des mots que tu diras alors jailliront nos futurs. A moins que tu ne devances cet appel.
Je t'aime toujours. En tous cas, j'éprouve toujours cette sensation. Tu peux me faire signe quand tu veux. Je me répète : je t'épouse quand tu veux. Si ce nouveau boulot tient, je tenterai de te le demander de vive voix. Je pensais pouvoir le faire plus tôt ; mais je me l'interdirais tout le temps où ma situation dans le coin n'est pas stabilisée. Quel sens cela aurait en la circonstance de te demander cela en étant obligé dans la foulée de partir au bout de la France ? L'occasion serait trop facile de me rire au nez !
Bonne nuit à toi.
Souvenirs, souvenirs....
C'est clair, que j'aurais du plus souvent venir des weekend où nous aurions pu faire autre chose que regarder la téloche, venir plus souvent des weekends où tu n'avais pas tes enfants. Mais, dans mes projections d'une histoire au très long cours, j'étais tellement avide d'être accepté par tes enfants, avide de créer les bonnes relations pour pouvoir former ce que l'on appelle, je crois, une "famille recomposée". J'ai choisi trop souvent je crois de venir quand tes enfants étaient là.
C'est clair aussi que les fois où je suis venu sans que tes enfants soient là, j'aurais du avoir plus la pêche pour te proposer de belles virées. Au lieu de cela, je m’épuisais au boulot et dans mes pb de boulot, en espérant que cela nous serait utile. Etre avec toi me suffisait. Dans "nous regardant Bones", il y avait toi, toi avec moi blottis l'un contre l'autre sur ton canapé avant de faire l'amour ensemble, et cela suffisait à me satisfaire. Trouves-tu cela con ?
C'est clair également que ta décision de rupture ne tient pas qu'à ces deux choses là ! Mais là, seul devant Bones à quelques kilomètres de toi, , je t'imagine seule devant Bones à quelques km de moi, avec tes enfants couchés dans leurs chambres chez toi. Même si ce n'est pas le cas ; même si ce n'est pas toi qui a vos enfants en ce début de période de vacances (les tiens qui sont aussi ceux de leur père...) ; même si tu es de sortie ; même si tu es, à l'instant où j'écris ces lignes, dans les bras de "truc", ou de "machine", ou de je-ne-sais-qui, ou avec "Ded...", peu importe ! En cet instant, c'est ainsi que je t'imagine. Et ce sont ces pensées qui me viennent à l'esprit.
J'ai écris dans les lignes qui précèdent "tes enfants" ; jamais, jusque là, "K. et E." Symbole (enfin !?) d'un certain désengagement de mes ressentis à leur égard ? Peut-être, même si l'un et l'autre me manquent toujours, et que je trouve toujours injuste, injustifiable, et "pas grand" l'ampleur de la coupure que tu as voulu entre eux et moi. Tout comme je trouve "pas grand" ton comportement à l'égard de ma mère depuis qu'elle est là où elle est.... Passons.
Une info. Ceux qui sont "encore" dans mes relations FB te le diront peut-être, - ou pas ! - dans les prochains jours : je viens enfin de retrouver du boulot ! Embauché depuis ce lundi 11/07. Cela me fait énormément de bien.
Ce job, c'est à N. qu'il se situe, même si cette semaine j'étais ailleurs, un peu plus au Sud, dans les locaux de la maison--mère.
Ce job, c'est pour moi une belle opportunité, un vrai challenge, pied à l'étrier, qui, si il tient, devrait, je crois, me permettre de vraiment de rebondir. Vivement la fin de la période d'essai - si cette fin doit être positive !
En plus, je ne perds que 10% par rapport à ce que je gagnais dans mon dernier job en RP ! Assez inespéré...
J'aurais dû tenter cela du temps où tu m'aimais ! Du temps où tu m'aimais, je ne croyais pas cela possible. Qu'est-ce qui fait que je n'ai pas "sondé" sérieusement le marché du travail dans la région à l'époque ? Manque de confiance ? Trop de foi dans le projet dont je m'occupais ? Trop de fatigue ? Manque de force ? Je crois que j'avais à l'époque trop de foi en ma capacité à faire aboutir le projet dont je m'occupais et trop peu de confiance et d’énergie restante en moi sur ce que je pouvais faire professionnellement ailleurs que dans le projet de banque de données où j'étais. Paradoxal. Mais peut-être aussi que je réécris les choses dans la tête.... Je ne crois pas cependant.
Divorcé, plus aucunes gamelles accroché à mes basques, un boulot dans le coin...
Si la période d'essai se passe bien, j'aurai réuni à la mi octobre au moins quelques unes des conditions qui auraient peut-être permises, du temps de ton amour de moi, de poser les base d'une histoire au très long cours entre toi et moi.
Il reste quinze ans avant mes 68 ans.... J'ai fait de la marche ce weekend avec un groupe qui comportait un gars de 68 ans. Il se tenait sacrément bien ! Après, c'est certain, notre différence d'âge... Allez, disons 10 ans ; il me reste au moins 10 / 15 ans avant de commencer à être assez vieux pour sans doute commencer à avoir du mal à te suivre au quotidien. Dix / quinze ans avant de risquer de devenir un boulet du fait de notre écart d'age. Combien avant que tu ressentes un gars de mon âge comme n'étant lus sortable à tes cotés ? Zéro ? Non, je crois pas que tu ressentes cela ainsi.
Dix ans de bonheur, ça peut valoir le coup, non ?
Si tout se passe bien coté boulot, quand j'aurais fini ma période d'essai, je tenterai de revenir vers toi de visu et je te demanderai de retenter "l'aventure" avec moi sur ces nouvelles bases. Sans engagement de ta part, a priori. Juste pour voir si, comme je le crois, on peut "se retrouver", en dépit de tout ce qui c'est passé. Tu me diras "oui", ou tu me diras "non".
Tu m'as dit et écris haut et fort (je cite) que "jamais je ne retournais avec toi" - la faute de temps est la tienne ; je veux y voir un lapsus... Je préférais que tu me dises "oui" ! J'en rêve toujours.
Si tu as retrouvé l'Amour ailleurs et que cela tiendra, tu me diras "non", et ce "non" n'aura pas grande importance dans ton futur. Si tu me diras "non", tout en ayant pas encore retrouvé l'Amour ailleurs ; mais que tu le trouveras dans quelques temps, et que cela tiendra, ce "non" n'aura cette fois encore pas grande importance dans ton futur au long cours.
En revanche, que se passera-t-il en toi, et dans ton futur au long cours, si tu me diras "non" et que jamais tu ne retrouves l'amour, de manière aussi intense que celui, me semble-t-il, qui fut le notre de manière partagée, au moins un certain temps ? Je te pose cette question, pas pour te manipuler de manière malveillante, ou juste focaliser sur mon nombril, mes envies, mes frustrations, etc ! Je te la pose en pensant à tous les regrets de ma vie - en particulier à tous les regrets que j'ai vis à vis de ce que je perçois comme sources de ton désamour...
Je t'aime toujours. En tous cas, j'éprouve toujours cette sensation. Après tous ces mois, avec tout ce qui s'est passé "entre nous" depuis ta décision de rupture, cela s'effacerait-il après quelques heures passées avec toi ? Je ne sais pas. Mais je ne crois pas. Toi, à l'inverse, es-tu bien certaine que plus jamais tu ne pourras m'aimer ?
Si tout se passe bien coté boulot, quand j'aurais fini ma période d'essai, je tenterai de revenir vers toi de visu et je te demanderai de retenter "l'aventure" avec moi. Des mots que tu diras alors jailliront nos futurs. A moins que tu ne devances cet appel.
Je t'aime toujours. En tous cas, j'éprouve toujours cette sensation. Tu peux me faire signe quand tu veux. Je me répète : je t'épouse quand tu veux. Si ce nouveau boulot tient, je tenterai de te le demander de vive voix. Je pensais pouvoir le faire plus tôt ; mais je me l'interdirais tout le temps où ma situation dans le coin n'est pas stabilisée. Quel sens cela aurait en la circonstance de te demander cela en étant obligé dans la foulée de partir au bout de la France ? L'occasion serait trop facile de me rire au nez !
Bonne nuit à toi.
jeudi 7 juillet 2016
lundi 4 juillet 2016
dimanche 3 juillet 2016
.......
Il est 12h46 ; je me lève.
Ce matin, cette nuit, hier soir, hier matin, la nuit d'avant, avant hier soir... je ne sais pas combien de fois j'aurai fait l'amour ce week-end. Mais la magie n'y était pas.
Comme avec C., je ne retrouve pas la magie que je ressentais avec toi, la magie qui nous unissait au moins parfois l'un à l'autre dans ces moments là.
J'ai écris "qui nous unissait au moins parfois". Je pense que pour toi aussi, quand nous faisions l'amour ensemble, au moins parfois, cette magie était là, grande, belle et forte.... Mais comme tu n'as plus voulu de moi, c'est que tu as fini par ne plus ressentir cela !
Triste de faire l'amour comme j'ai fait l'amour cette nuit.
Je n'ai pas su quand nous étions ensemble te montrer la force de mon amour. Je n'ai pas su faire ce qu'il aurait fallu pour alimenter ton amour et que tu ne me quittes pas. Je te demande pardon de ne pas avoir su. Quel gâchis ! Je m'en voudrais jusqu'à ma mort.
Pendant que "je t'écris", elle dort ; elle s'est rendormie. Pffff Pour sur, elle a senti que je n'étais pas totalement dedans, pas totalement dans l'instant !
Cette nuit aux environs de 4 heures du matin, je pensais à tout ce que je viens d'écrire. Je me demandais ce que toi tu faisais, cette nuit, dans ce moment là. Et je pensais également à tout ce que j'aimerai pouvoir te dire, à tout ce dont j'aimerai pouvoir parler avec toi.
J'aimerais tant pouvoir te parler. Je me sens tellement triste de ne pas pouvoir te parler !
Ce matin, cette nuit, hier soir, hier matin, la nuit d'avant, avant hier soir... je ne sais pas combien de fois j'aurai fait l'amour ce week-end. Mais la magie n'y était pas.
Comme avec C., je ne retrouve pas la magie que je ressentais avec toi, la magie qui nous unissait au moins parfois l'un à l'autre dans ces moments là.
J'ai écris "qui nous unissait au moins parfois". Je pense que pour toi aussi, quand nous faisions l'amour ensemble, au moins parfois, cette magie était là, grande, belle et forte.... Mais comme tu n'as plus voulu de moi, c'est que tu as fini par ne plus ressentir cela !
Triste de faire l'amour comme j'ai fait l'amour cette nuit.
Je n'ai pas su quand nous étions ensemble te montrer la force de mon amour. Je n'ai pas su faire ce qu'il aurait fallu pour alimenter ton amour et que tu ne me quittes pas. Je te demande pardon de ne pas avoir su. Quel gâchis ! Je m'en voudrais jusqu'à ma mort.
Pendant que "je t'écris", elle dort ; elle s'est rendormie. Pffff Pour sur, elle a senti que je n'étais pas totalement dedans, pas totalement dans l'instant !
Cette nuit aux environs de 4 heures du matin, je pensais à tout ce que je viens d'écrire. Je me demandais ce que toi tu faisais, cette nuit, dans ce moment là. Et je pensais également à tout ce que j'aimerai pouvoir te dire, à tout ce dont j'aimerai pouvoir parler avec toi.
J'aimerais tant pouvoir te parler. Je me sens tellement triste de ne pas pouvoir te parler !
vendredi 1 juillet 2016
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