Fin du week-end de trois jours. Même si on est "déjà" lundi soir, ce n'est que maintenant, n'est-ce pas, la vraie fin de la semaine écoulée. Et la nouvelle semaine (de boulot, pour ceux qui en ont, et d'école, pour les enfants), ne va démarrer que demain matin.
Ce n'est donc que maintenant que je m'autorise à écrire ici : "Bonne semaine à toi. Bonne semaine à K. Bonne semaine à E. Bonne semaine à vous trois !"
Et dans ces mots, blablablabla.... dans ces mots, tu sais bien quoi.
Aussi en moi en cet instant... Si seulement tu pouvais percevoir.
Toi, que ressens-tu, toi, en lisant ces lignes ? Quelles sensations ? Quelles émotions ? Quels sentiments ? Quelles pensées ? Toujours autant de négatif à mon encontre ?
A écrire ce que je viens d'écrire, je suis en train de raté à nouveau cet effort d'écrire ici juste une fois par semaine juste que je te / vous souhaite de passer une bonne semaine..
Ces quelques mots qui débordent, comme tous mes mots qui ont dérapé : des exutoires à ma confrontation à tes refus de tous dialogues depuis maintenant si longtemps. Comment les choses seraient aujourd'hui si tu avais été moins fermé à mes insistances ? Moins pire, je pense. Bref !
J'espère que tu vas bien. J'espère que vous allez bien tous les trois. Bonne semaine à toi. Bonne semaine à K. Bonne semaine à E. Bonne semaine à vous trois.
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