dimanche 29 mai 2016

Bonne semaine

Bonne semaine à toi, à K. et à E.
Bonne semaine à vous trois. J'espère que tu ne m'en veux pas trop pour mon précédent post et...

C'est la fête des mères


J’espère et j'imagine que tu as K. et E. avec toi, ou les auras au moins pour ce midi.

Je suppose que vous serez à B.  ce midi.
Peut-être aussi avec ton frère, ta sœur....
Et...

Je serais à N. avec maman. Et...

En ce jour symbolique, je pense fort au fait que tu n'aies jamais été voir ma mère depuis qu'elle est la Maison de retraite. J'aimerais qu'en ce jour spécial, à un moment donné ou à un autre, tu aies une gentille pensée pour ma maman. Comme j'ai à l'instant de gentilles pensées pour ta mère et ta grand mère que tu aimais tant.

Je n'écris pas cela ici pour te faire mal !  Je n'arrive pas à lire entièrement en moi pour comprendre pourquoi j'écris cela ici ; mais je n'écris pas cela ici pour te faire mal ! Je te demande pardon si lire ce post te fait mal.




mardi 24 mai 2016

Le 24/05 à 12h48

Me voilà qui regarde à nouveau le module "statistique"  ! Le 24/05 à 12h48 quelqu'un a accédé à l'une ou l'autre des pages de ce Blog à partir de la France.
Et je me demande : était-ce toi ?
Et je me demande encore : était-ce toi en train de veiller sur moi, "malgré tout", inquiète de découvrir ici des mots avant coureur de pensées suicidaires ? ou était-ce toi en train de t'assurer de l'absence de nouveaux dérapages verbaux, de nouveaux reproches, de nouvelles plaintes, de nouvelle suppliques... ?

A 12h48, c'était grosso modo l'heure du déjeuner, de son début, de son milieu, ou de  fin. En d'autres circonstances, on aurait pu déjeuner ensemble ! Si tu lis, tu dois te dire en t'adressant à moi en pensées un truc du genre : "Même pas en rêve ! vas te faire..." Je sais. Et il faut que je réussisse à faire avec puisque c'est ainsi.

dimanche 22 mai 2016

J'aimerais oublié cette image

J'aimerais oublié cette image de toi m'adressant ce doigt d'honneur. C'est l'une des plus pénibles que j'ai en tête, avec quelques autres...

Toi sur ton canapé me disant "tes petits travers ne m'amusent plus" ; toi, sur la route à l'entrée de Broussey ;  toi chez ma mère, m'ignorant quand j'étais en télétravail ;  toi, avec moi assis sur le lit de ma mère, me disant "Rien à foutre de tes états d'âme ; sors de ma vie !"....

Je préfère des tonnes d'autres images de toi, du temps où tu m'aimais.

Je me demande quelles images, toi, tu gardes en tête de moi.

Là, je me demande aussi si tu liras ce post, ce soir ou demain. Ou si tu as arrêté, comme je croyais que tu l'avais fait début janvier, tout en ayant recommencé à écrire dans les moments de la Saint Valentin.  Je m'étais fait alors à l'idée que tu ne lisais plus. Et les mots que j'écrivais, en étaient d'autant plus des pensées que je t'adressais en pensées, "brutes de fonderie".

Depuis début avril, à la suite de tes commentaires, je m'étais refait à l'idée que sans doute tu lisais régulièrement. Et du coup, je faisais attention à ne plus écrire " "brut de fonderie". Et même à me retenir d'écrire, autant que je le pouvais, autant que je pouvais résister à cette "addiction".

Depuis ce doigt d'honneur que tu m'as adressé, je ne sais plus. J'espérais avoir réussi ici à apaiser ta rage par ma retenue. Manifestement, non. Il faut que je m'y fasse ! Me hais-tu vraiment, à ce point ? Moi, je sais c'est très con, je t'aime toujours !

J'imagine, si tu lis, que c'est sans doute la dernière chose que tu as envie de me voir écrire ici ce "je t'aime toujours " ! Qu'importe au point où j'en suis, au point où nous en sommes ! Cela de plus, cela de moins, cela ne change pas grand chose, n'est-ce pas ?

Bonne fin de soirée à toi. Bonne nuit à K. et E. Bonne semaine à toi. Bonne semaine à K. Bonne semaine à E. Bonne semaine à vous trois. Que ces souhaits se réalisent, même si tu me hais désormais.

samedi 21 mai 2016

Cette image

Cette image de ton doigt d'honneur me hante encore et encore.
Tu voulais me faire bien mal, que j'ai encore un peu plus mal ? T'as réussi ! Bravo.

vendredi 20 mai 2016

Toujours en tête ce...

J'ai toujours en tête ce doigt d'honneur que tu m'as adressé. Ma nuit s'annonce pénible. Je ne te remercie pas.

Doigt d'honneur (maj)

 On vient de se croiser, moi en voiture, toi à pieds.
Je t'ai adressé un petit salut de la main.
Tu m'as retourné un doigt d'honneur.
Ce doigt d'honneur que tu m'as adressé m'a transpercé comme une épée.

Je sens depuis mon cœur serré dans un étau ; et ce n'est pas qu'une image. Mesures-tu ce que m'a fait ce doigt d'honneur ? Était il "épidermique" ou réfléchi ? Voulais-tu à travers lui me faire aussi mal qu'il m'a fait mal ? Si oui, tu as réussi.

A un moment de ta vie, quelqu'un que tu te sentais toujours aimé de tout ton être t'a-t-il jamais adressé un pareil doigt d'honneur ? Non ? Je ne souhaite pas que cela t'arrive. Je ne te souhaite pas le ressenti que cela procure.

Je souhaite qu'il ait été fondamentalement épidermique ce doigt d'honneur que tu m'as adressé. Chargé de colère ; mais pas de haine.

J'aimerais que l'on puisse se parler en tête à tête. J'aimerais entendre s'exprimer à travers des avalanches de mots de toi toute ta colère, tous tes reproches, tous tes griefs, toutes les choses négatives à mon égard que j'ai pu engendré en toi depuis maintenant bientôt deux ans. Et pouvoir y répondre sans colère, tenter d'exprimer "l'autre coté", et pouvoir te demander pardon en paroles pour tout ce qu'il faudrait que je te demande pardon. J'aimerais que l'on puisse se parler assez longuement en tête à tête pour percer l'abcès.

Il y a bientôt deux ans, avant dernier weekend chez toi, je t'ai laissé l'épaule en vrac, au lieu de poser un arrêt maladie pour rester à tes cotés. Je croyais bien faire pour nous. Je croyais ne pas devoir faire autrement pour nous préparer un avenir. Avant il y a eu l'épisode de mes papiers sur ta table de cuisine, tout ce que je n'ai jamais fait pour remettre sur pied ta cuisine après les travaux de chauffage, l'épisode des caves que j'ai vidé, le fait de ne pas avoir déménager, mon eau chaude non réparée,  mon divorce pas fait, le fric dilapidé à maintenir mes enfants là où ils vivaient, mon déménagement de ce foutu appartement de Issy non fait, les fois où j'ai emmené la mère de mes enfants à l'aéroport, mes négligences à l'égard de moi-même (fringues, dentiste....), l'amour que je ne te faisais plus qu'en manquant de beaucoup de fantaisie, toutes les sorties que nous aurions du faire et que je ne t'ai pas proposé de faire... J'en passe et j'en passe.

Je regrette tout cela très amèrement. J'ai été démesurément con, aveugle, bouffé par les problèmes que je n'arrivais pas à gérer et insensé. Tu m'as dit une fois "2 de tension !" Ce n'étais pas ça. De l'énergie, j'en avais ; mais je ne la dépensais pas au bon endroit. Noyé dans mes égarements et mes croyances erronées.

Comment va ton bras, ta santé aujourd'hui ? J'aimerais savoir. J'aimerais savoir.

On s'entendait bien, non, du temps où tu m'aimais ? Je t'aimais de tout mon être et je n'ai pas su faire pour que tu sentes à quel point je t'aimais et que cet amour te reste précieux. Je t'aime toujours et je crois toujours que l'on pourrait être heureux ensemble si tu pouvais m'aimer à nouveau. Le contexte est différent ; les circonstances sont différentes : je crois sincèrement que je saurais "être encore" tout ce que tu avais aimé en moi et "ne plus être" tout ce qui a cassé ton amour.

Mais, avec toutes mes insistances et mes débordements depuis bientôt deux ans, je n'ai réussi qu'à te dresser contre moi ! Tristesse immense.

Le doigt d'honneur que tu m'as adressé me transperce comme une épée. J'arrive pas à chasser l'image de mon esprit. J'aimerais que l'on puisse se parler assez longuement en tête à tête pour percer l'abcès. Je crois sincèrement que cela serait bien pour chacun de nous deux.Je suis malheureux, très malheureux, d'en être avec toi là où on en est aujourd'hui. J'aimerais que l'on puisse se parler assez longuement en tête à tête pour sortir d'une manière ou d'une autre de là où nous en sommes aujourd'hui.

mardi 17 mai 2016

Bonne semaine et quelques autres mots

Fin du week-end de trois jours. Même si on est "déjà" lundi soir, ce n'est que maintenant, n'est-ce pas, la vraie fin de la semaine écoulée. Et la nouvelle semaine (de boulot, pour ceux qui en ont, et d'école, pour les enfants), ne va démarrer que demain matin.

Ce n'est donc que maintenant que je m'autorise à écrire ici : "Bonne semaine à toi. Bonne semaine à K. Bonne semaine à E. Bonne semaine à vous trois !"

Et dans ces mots, blablablabla.... dans ces mots, tu sais bien quoi.

Aussi en moi en cet instant... Si seulement tu pouvais percevoir.

Toi, que ressens-tu, toi, en lisant ces lignes ? Quelles sensations ? Quelles émotions ? Quels sentiments ? Quelles pensées ? Toujours autant de négatif à mon encontre ?

A écrire ce que je viens d'écrire, je suis en train de raté à nouveau cet effort d'écrire ici juste une fois par semaine juste que je te / vous souhaite de passer une bonne semaine..

Ces quelques mots qui débordent, comme tous mes mots qui ont dérapé : des exutoires à ma confrontation à tes refus de tous dialogues depuis maintenant si longtemps. Comment les choses seraient aujourd'hui si tu avais été moins fermé à mes insistances ? Moins pire, je pense. Bref !

J'espère que tu vas bien. J'espère que vous allez bien tous les trois. Bonne semaine à toi. Bonne semaine à K. Bonne semaine à E. Bonne semaine à vous trois.



dimanche 1 mai 2016

Le weekend s’achève.... Une nouvelle semaine va démarrer...

Le weekend s’achève. Je pense à toi, et à ce mot terrible : "Psychopathe".

Ce que j'ai écris ici, ou que je t'ai envoyées par SMS, ou par mail, a du parfois te faire très mal pour que tu en viennes à me traiter de psychopathe ! Je  t'en demande pardon.

J'ai crié sans cesse ma douleur, mes blessures et mes incompréhensions face à la perte de ton amour, à tes silences, à tes refus, à tes rejets. Parfois, oui, c'est vrai, j'aurais aimé que tu te sentes à peu coupable de maintenir autant de silences, de refus et de rejets, face à ma douleur, mes blessures et mes incompréhensions. Dans l'espoir de moins de silence, de refus et de rejets. Coups de griffes de mon être pris au piège de ma douleur, de mes blessures et de mes incompréhensions face à la perte de ton amour, à tes silences, à tes refus, à tes rejet.  Mais jamais je n'ai voulu t'abimer ! J'aimerai que tu comprennes, ne serait-ce qu'un peu, ce que je cherche à exprimer.

J'ai pas trouvé  la manière de te donner envie d'autres comportements. Bien au contraire ! J'en suis triste. J'ai du parfois te faire très mal.  J'en suis tout aussi triste et je t'en demande à nouveau pardon.

Le weekend s’achève.  Une nouvelle semaine va démarrer. Je te souhaite une bonne nuit. A K. et E. aussi. Je te souhaite une bonne semaine. A K. et E. aussi.