dimanche 17 avril 2016

Bonnes....

Bonne fin de soirée, puis bonne nuit, puis bonne semaine , à toi.

A K. et E., aussi.

Il y a beaucoup d'amour, des tonnes d'amour, tout l'amour que je continue de vous porter, tout mon amour, dans ces quelques mots.

Bonne fin de soirée, puis bonne nuit, puis bonne semaine, à vous trois.

lundi 11 avril 2016

Juste me tenir...

Juste me tenir à distance, m'en tenir à tes exigences.... c'est le seul et unique moyen d'apaiser ta rage, n'est-ce pas ?

Merci de dire à K. que tu ne veux pas que je lui envoie la carte. L'idée qu'il puisse croire que je l'ai oublié me mine.

Merci de dire à K. et E. que tu ne veux plus que je les accoste. L'idée qu'ils puissent croire que c'est mon choix me....

Si cela un jour devient dans ton esprit à nouveau possible, merci de me le faire savoir, d'une manière ou d'une autre.
Me cantonner à cet espace ou m'interdire aussi d'écrire ici ?

Bonne semaine à vous trois.

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dimanche 10 avril 2016

J'aimerai trouver des mots

J'aimerai trouver des mots pour apaiser ta rage, ta colère, tes ressentiments à mon égard. Mais je doute qu'aujourd'hui aucun mot venant de moi puisse avoir ce pouvoir.

Les boules (maj)

Les boules. Tristesse. Désolation aussi. Je suis désolé de.. Je voulais, je voudrais que l'amour que je te porte et ses expressions n'engendrent que du positif pour toi et en toi. Et au lieu de cela...  Toi, tu me renvoies que je n'engendre pour toi que du négatif. Je suis profondément désolé d'engendrer cela.



samedi 9 avril 2016

Je ne comprends pas

Je ne comprends pas ; je ne comprends pas la rage qui t'a emportée ce matin contre moi. J'aimerais comprendre. J'aimerais que tu m'expliques. Qu'ai-je fait de mal ? Il me semble n'avoir exprimé que de l'amour. Et du manque, et de la nostalgie. Je ne comprends pas ; J'aimerais que tu m'expliques.

Bon réveil, bonne jounrée, et bonne fête

A l’heure là, aujourd'hui, tu ne dois pas être encore réveillée.
J'ai l'impression  de te voir en moi endormie dans ton lit.

E. vient-elle encore parfois les matins se blottir contre toi ?

Je te souhaite un bon réveil, et une bonne journée aussi.

Jour de fête d'anniversaire de L., aujourd'hui ? Souvenirs... Je nous revois chez ta sœur...

Bonne fête à vous tous.  Amusez-vous bien ! Je penserai à toi et toute ta famille. En pensées le bonjour à tous.

vendredi 8 avril 2016

Bonne nuit

Bonne nuit. Je vais me coucher. Envie de me coucher comme les poules, et de m'endormir. J'espère que Morphée voudra bien de moi sans trop tarder.

Bonne fin de soirée

Bonne fin de soirée à toi, à K. et à  E. ; bonne fin de soirée à vous trois.

Bon vendredi apéro

Bon vendredi apéro avec K. et E. ...
Je vous rejoindrais bien volontiers ; mais, je ne pense pas que tu apprécierais :-(.

Cela dit, si tu m'invites, j'accoure ! Lol.

Bon vendredi apéro avec K. et E. ...

Bonne journée

Contente, j'imagine, de retrouver K. et E. ce soir.

jeudi 7 avril 2016

Bonne nuit

Bonne nuit à toi, S. Fait des beaux rêves.

N'hésites pas à m'y inclure ! Si tu lis celà, je t'imagine marmonnant : Pfff, pfff ! Lol.

P.S. Je n'ai mesuré que trop tard toute l'importance, toutes les réprobations que portaient certains de tes "Pfff !! Pfff !". Bref !

Bonne nuit à toi, S. Fait des beaux rêves. 

J'ai vu à V.

Ils te l'ont peut-être "déjà" dit par téléphone ou SMS : en redescendant de la Maison de retraite, j'ai vu K. et E. à l'entrée du square près de La Poste. Et Je me suis arrêté. Et j'ai pu les embrasser, et leur parler un peu.

Pour la première fois, depuis tant de mois !! Trente deux mois pour E.... Vingt huit mois pour K...
Rien pour toi ?  Deux lourdes éternités pour moi !

Dieu, qu'ils ont changé, et pas changé, tout à la fois !! Normal, c'est eux deux, en plus grands...

K.  est d'ailleurs maintenant presque aussi grand que nous (mais ce n'est pas à toi que je vais l’apprendre !!). Il va faire des ravages parmi les filles ! Beau comme un dieu et sa coupe de cheveux lui va super bien. Et il a tout conservé de son air malicieux à souhait. Et de son humour malicieux. Il devrait devenir un gars super, avec un super physique.

E. a grandi aussi. Avec toujours ses émotions à fleur de peau,  domptées tant bien que mal, et qui rejaillissent en bougeotte et exubérance. Si je peux me permettre : gaffe à son poids... Où est le malaise ?

Et l'un avec l'autre, sans doute de plus en plus complice. Ils m'ont joué de beaux jeux de taquineries réciproques.

Moi, je me suis senti gauche. Avec du mal à trouver mes mots, pire : du mal à trouver des mots. Pas simple, après tant de temps, et d'attente. Mais, soit tranquille :  j'ai réussi à contenir les larmes qui me montaient à la gorge !

Car, c'est vrai que  des larmes suintaient de mon cœur et me montaient à la gorge, tellement j'aurais aimé et tellement j'aimerais toujours. Mais, je crois avoir réussi à masquer.

Je pense qu'ils aiment bien toujours le souvenir qu'ils ont de moi. Mais tu as réussi  : je me suis senti comme étant aujourd'hui pour eux quelqu'un du passé !  C'est ce que tu voulais, n'est-ce pas ?

Le fait est là : je me suis senti comme étant aujourd'hui pour eux quelqu'un du passé ; quelqu'un à qui ont a un peu de du mal à savoir quoi dire (au moins dans les premières minutes). Gout très amer, même si il m'a semblé qu'ils avaient envie de maintenir un contact. E. a ressenti le besoin de me dire que pour FB, c'était toi, et pas elle qui avait coupé le lien... Avec en creux, qu'elle le regrettait.

J'ai en revanche appris avec surprise et plaisir qu'ils avaient eu les cartes que je leur avais envoyé. Je me suis excusé auprès de K. de ne pas lui avoir envoyé de carte en janvier pour son anniversaire. Je lui ai dit que je l'avais acheté et que, si il le voulait, je pouvais la lui envoyer. Il m'a répondu qu'il le voulait bien. Je le ferais. Et je leur renverrais des cartes pour "les grandes occasions", sauf si tu me signifies que tu ne le veux pas.

Je n'ai pas parlé des cadeaux que tu n'as jamais voulu prendre....

J'ai été très content de les revoir, avec comme sensation, (ne t'en déplaise ?) qu'il suffirait de peu de temps pour que la complicité se rétablissent.

J'attendais de les revoir depuis si longtemps !

C'est sans doute con et/ou incompréhensible à tes yeux : j'ai vraiment aimé et j'aime toujours tes enfants. Contrairement à ce qu'on m'a laissé comprendre que tu avais pu dire (sans doute à la nana du magasin d'électroménager), mes tentatives pour les revoir n'ont jamais été un instrument pour tenter de te récupérer. J'ai trop de respect pour eux !

Si je suis revenu dans l'Est, c'est parce que je me suis dit que c'était mon seul et unique espoir, aussi mince soit-il,  de pouvoir renouer avec toi. Cela, c'est vrai, totalement vrai (et, toi, tu l'as sans doute compris  ; personne d'autre, tellement, cela peut sembler dingue. Snouf) ! Mais, jamais,  sur la tête de mes enfants, mes tentatives pour les revoir n'ont jamais été un instrument pour tenter de te récupérer.

Il y a toi ; il y a eux ; il y a vous trois. C'est enchevêtré ; mais (je radote....) pas fusionné ! (Toi) Oui, je t'aime toujours ! (Toi) Oui, je t'épouse dés que tu veux ! (Vous trois) Oui, si tu m'épousais, on deviendrait une famille recomposée ! (Eux deux) Oui, ils me manquent l'un et l'autre, indépendamment de toi !

Comprends-tu ?

J'ai écris ici, il y a pas longtemps, qu'il fallait que j’arrête de me répandre. Je n'ai pas le sentiment de me répandre à travers ce post.

Je te souhaite une bonne fin de soirée, S.

Me viens à l'instant à l'esprit, le début du poème "Le bonheur" de Paul fort : "Le bonheur est dans le pré...".

Mon bonheur a filé ; pourrais-je jamais le rattraper ?

Avec aussi dans ma tête, ces questions à ton égard : et toi, c'est quoi, ton bonheur ? Il est où ton bonheur ? Je t'imagine ce soir, devant ta télé, sur ton canapé... Es-tu heureuse, aujourd'hui ?  Et qu'est-ce qui fait aujourd'hui pour toi la certitude que nous ne pourrions pas être heureux ensemble, toi et moi, ensemble ?

Je te souhaite une bonne fin de soirée, S.. Et, ce soir, j'ai envie d'écrire ici : "bisous soir".








Bonjour

Bonne journée à vus trois.

mercredi 6 avril 2016

Bonne nuit

Bonne nuit à toi....

Bonne fin de soirée

Je me dis que écrire ici "Bonne fin de soirée", ce n'est pas me répandre ici.
Aussi : "Bonne fin de soirée à toi".
Et bientôt bonne nuit pour K. et E.

Il faut que (MAJ)

Il faut que j'arrête de me répandre ici ! Et que je remonte la pente, et que je refasse surface.

Toi, de ton coté, puisses-tu accorder à ma mère le plaisir de t'entendre et de te voir !

Puisses-tu, si c'est cela  qui bloque, me dissocier d'elle dans ton esprit...

Elle ne m'a rien dit ; mais je suis certain qu'elle apprécierait énormément que tu lui offres un bouquet de fleurs, en clin d’œil à ceux d'autrefois en provenance de son jardin...

Le pompon pour elle serait sûrement avec quelques fraises de la part de  K. ! 

mardi 5 avril 2016

Bonne suite de soirée

Bonne suite de soirée à vous trois.
Il me semble que je sombre de plus en plus ; mais, je sais, tu n'en es pas coupable.

Ça passera ; tout passe toujours d'une manière ou d'une autre sur terre. L'amour,  insensé aux yeux de tous, que je continue d'éprouver en moi à votre égard passera lui aussi. Au moins le jour où... !

Je me dis, là, que j'aurais sans doute juste fait mieux de ne pas vous connaitre, ni toi, ni tes enfants, pour en arriver là. Et sans doute te dis-tu la même chose dans l'autre sens !!!

Cela me résume bien depuis ta décision de rupture, non ?

Bref.

Bon appétit...

Bon appétit à toi !

Moi, je me sens l'estomac noué, le cœur et l'âme comme enserrés dans un étau. Sombre mélancolie !

B'jour

Pensées.

lundi 4 avril 2016

... nuit

Pfffffffffff

Je t'aime toujours

Je t'aime toujours. Je me heurte à tous tes silences. A ton raz-le-bol de moi. A ton indifférence et du mépris ? Cela me fait mal. J'ai mal. Et toi, et toi, et toi.... Tristesse.

dimanche 3 avril 2016

Pas bonne nuit

Je ne te souhaite pas une bonne nuit.
Puisses-tu passer un bout de cette nuit à prendre la mesure de tout ce que je ressens !

18h43

A peu près l'heure du retour des monstres chez toi.
Pensées pour eux. J'aimerais les revoir et pouvoir leur parler.

Cela aussi reste une immense blessure d'avoir été totalement coupé d'eux, alors que je les adorais et qu'ils m'aimaient bien. Tristesse pour cela aussi.

Penses à moi quand tu leur fera le bisou bonne nuit ! Ce sera un peu comme si je les embrassais aussi pour leur souhaiter une bonne nuit. Mieux encore : fait leur aussi un bisou de ma part. Sans leur dire, bien entendu, cela va de soi !

Pensées impuissantes et tristes (MAJ)

Pfffff. Ta nuit fut-elle bonne ? As-tu parfois pensé à moi durant cette nuit ? As-tu vraiment été heureuse cette nuit ? J'aimerais que notre amour d'autrefois quelque part t'est manqué durant cette nuit. Lors de ton réveil aussi, comme il me manque à moi à chacun de mes réveils.

Pfffff.pfffff.pfffff.

Envie aussi de te rappeler la présence de ma mère  à deux pas de chez toi. C'est mesquin ? Peut-être un peu. Pfffff.pfffff.pfffff.

N'hésites pas à penser à moi et à elle ce dimanche....

J'aimerais te parler, te parler, te parler... Si de lire ce post perturbe ta journée, le mieux ne serait-il pas qu'on en parle ensemble ?

samedi 2 avril 2016

Je me souviens de tes "Je t'aime"

Samedi soir. Sans doute cette nuit feras-tu l'amour avec quelqu'un.... J'aimerais être à la place de celui-ci ou de celle-là. Mais ce qui me transperce c'est surtout la pensée que tu puisses être aujourd'hui amoureuse de quelqu'un d'autre que moi.

Je me souviens de tes "Je t'aime". Je les entends encore dans mes oreilles au milieu du froissement des draps sur nos corps dénudés. Je revois tout de tes "Je t'aime" !

Et je les rapproche d'aujourd'hui. Et c'est toujours terrible en moi. Je l'ai déjà écrit ici : je croyais en la puissance de tes "je t'aime".  Et quelque part, en dépit de tout ce que je perçois avoir raté,  de tout ce que j'ai conscience d'avoir fait de travers, et même à l'envers, je peine à croire qu'il ne reste rien, en toi, pour moi, des "Je t'aime" que tu m'as autrefois adressés. Je comprends t'avoir profondément déçu, blessés, avoir fait naitre en toi, avant que tu ne décides de rompre, des colères sourdes. Que tu aurais dû laisser exploser ! Cela peut-être aurait changé l'histoire. Je comprends tes déceptions ; mais pas comment elles ont tué tout l'amour qu'il me semblait percevoir dans tes "je t'aime". Je croyais ton amour aussi fort que le mien.

Te souviens-tu, toi, des "je t'aime" que tu m'as adressé ? Quand tu me disais : "Je t'aime, je t'aime, je t'aime..." Puisses-tu fermer les yeux quelques instants pour te les remémorer ! Ils me semblaient si forts qu'en dépit de ton "tes petits travers ne m'amusent plus",  je peine toujours à croire qu'ils n'en reste rien, nulle part, au fond de ton cœur.

Si cela est, je crois bien qu'il me manque toujours des mots de toi pour comprendre que cela est et comment cela est.

Et accepter, "digérer", faire enfin le deuil et pouvoir passer à autre chose ? SOS, accepte de me livrer ces mots, de m'expliquer au delà de "tes petits travers ne m'amusent plus". S'il ne reste rien, nulle part, au fond de ton cœur des "je t'aime" que tu me disais, me refuser cette aide... n'est-ce pas un peu moche ?

Dormi comment ? (MAJ)

Je me demande ce que tu as fait de ta nuit. C'est très con ; je sais. Je t'imagine dans les bras d'un autre, et cela me fait mal.

Tu m'as sorti de ta vie.  Et moi, je continue de t'aimer. Je suis revenu tout près de toi. Mais tu me restes inaccessible.

Sans ton amour, il faut que j'arrête de penser à toi comme je pense à toi, pratiquement en boucle, 24h/24. Cela me détruit. C'est dingue comme cela me détruit !

vendredi 1 avril 2016

Bonne nuit

Bonne nuit à toi...
Puisses-tu à un moment donné avoir une petite pensée pour moi. Une pensée positive.

Une petite pensée  pour ma mère aussi ? Pffff

Vendredi soir 19h00...

Je pense à toi. Vendredi soir 19h00. Autrefois je grimpais à ce moment là dans la voiture à la gare de B. pour venir te rejoindre. J'y pense et je pense à toi et ça me fait mal.

J'aimerais là, être avec toi, avec toi, avec toi, avec toi. J'aimerais pouvoir te serrer tout contre moi.


Je t'aime, je t'aime, je t'aime....

Je t'aime, je t'aime, je t'aime toujours. Et tu me manques à la folie !

Bonne journée (maj)

Bonne journée.

Je partagerais volontiers ce soir un vendredi apéro avec toi...

J'étais si content les vendredis soirs de te retrouver que ce simple fait suffisait à me combler après les fatigues de la semaine écoulée. Sans doute aurais-tu aimé parfois plus !

Je regrette aujourd'hui de ne pas avoir su te proposer parfois plus. De ne pas avoir su te surprendre agréablement par un peu moins de routines.

Ce serait différent aujourd'hui.

Je partagerais volontiers ce soir un vendredi apéro avec toi... Chez toi, à N., aussi bien qu'ailleurs.