lundi 31 août 2015

En ce moment, c’est la rentrée…. (maj)


Ces temps-ci, c’est la rentrée des classes pour les écoliers, les collégiens et les lycéens. Donc pour K. et E.
Période symbolique, événement important pour eux, qui, en ces jours me conduisent à penser encore plus fort à eux que les jours « ordinaires"
Je regrette de ne pas pouvoir leur souhaiter de vive voix, ou pour le moins, directement, une bonne rentrée (Je l'ai quant même fait par courriel à K.).
Pouvoir de temps en temps, et notamment « aux grandes occasions », échanger avec eux,  un petit coup de fil, un petit SMS, un petit courriel, un petit coucou de visu…. « Déjà » en septembre dernier, je ne t’en demandais pas plus... Si tu regardes bien en arrière dans nos échanges, je ne pense pas que tu puisses faire d’autres constats !

Je le redis : c’est le fait que tu n’as pas permis que je les revoies, ni l’un l’autre, qui a « pourri » les choses. Je ne te demandais pourtant pas grand-chose : pouvoir de temps en temps, échanger avec eux,  un petit coup de fil, un petit SMS, un petit courriel, aux «grandes occasions » pour eux (comme la rentrée) et aussi,  de temps en temps, un petit coucou de visu…notamment  aux «grandes occasions » pour moi, comme la fête à « neu-neu» !...
Le 31/08 quand je suis parti, je suis passé devant chez toi. Et j’ai klaxonné. Triste, n’est-ce pas d’en arriver là !
N'y vois aucune méchanceté !  J’ai klaxonné en rêvant / espérant que E. entende et reconnaisse ce klaxon et s’exclame gentiment : « C’est Eriiiiiiiiiiic ! », en se disant, avec plaisir au fond d’elle, que je pense « encore » à elle, et que je l’aime toujours.
Rêvant / espérant, aussi, que K. entende et reconnaisse également ce klaxon, et se dise également, avec plaisir, au fond de lui, que je pense « encore » à lui, et que je l’aime toujours.
Toi ? Toi, pardonnes-moi si tu as entendu et reconnu ce klaxon, et qu'il t’a vrillé la tête. Ou s'il a perturbé négativement ce qui vous faisiez tous les trois. Ce n’est pas  ce que j’ai voulu, ce n’est pas ce que j’ai souhaité ! Il n’y avait que de la gentillesse, de l’amour, et de la peine, plein de peines, dans ce coup de klaxon....
Je revoie K. et E. tout à la fois tels que je les ai vus pour la première fois, dans ta cuisine. Tu te souviens ? Tel aussi que je les ai vus, l’un et l’autre, pour la dernière fois....

Et ça me fait mal ! Mal, mal, mal, mal !!!!!!!!!!

Je t’en conjure :  ne te moques pas de cette douleur-là. Ne la réfute pas ! Respecte-là, bordel  ! Au moins en pensées, puisque dans tes faits, tu sembles jusqu'à présent, totalement incapable de lui témoigner quelque once de respect que ce soit. Je me trompe ? Dis-le !! Montres le !

Vraiment : j’aimerai bien que tu puisses la ressentir, ne serait-ce qu’un instant, cette douleur-là, pour que tu puisses bien l’appréhender, la mesurer, la comprendre, et ressentir, même brièvement, les effets que tes faits ont en moi. Peut-être alors infléchirais-tu tes manières de faire. Par "humanité".

Tu n’as pas répondu à l'appel au secours que je t’ai adressé par courriel. Honnêtement, quelque part, je trouve cela "assez dégueulasse", "assez petit", indigne de toi, aussi, en quelque sorte. Ou tu te dis que je cherche à te manipuler, à "t’attendrir ?", de manière machiavélique ? Ce n'est pas ça que je fais !   Ce n'est pas ça que je cherche !   Je cherche juste une issue à mon malaise. Ta sœur m'en indique d'autres : "remets toi, ouvres les yeux, vis ta vie.... relèves toi, tourne la page, va de l'avant............ la vie continue, relèves toi, tourne la page, va de l'avant............ " Facile à dire et à écrire, quelque part, au moins. A faire ? Un peu moins, pour moi en tous cas. Je m'y efforce, crois-moi, je m'y efforce ! Mais par ce chemin-là, ce chemin de "l'oubli amnésique", contraint, forcé, pour survivre psychologiquement, il restera toujours des séquelles ! Il me restera toujours des séquelles : : peur terrifiante d'aimer. A quoi bon aujourd'hui, pour moi, avoir développé de l'amour pour toi, et à travers cet amour-là, pour tes proches, et en particulier pour K. et E. Sensations de trahisons ! De n'avoir été qu'un jouet.

Je n’ai pas compris, et je ne comprends toujours pas que tu ne me comprennes pas et que tu te refuses à n’ouvrir ne serait-ce qu’une brèche dans ce mur de silence que tu as placé entre nous, et qui m’enferme, m’étouffe, et m’écrase. Je ne comprends pas. Étrange quelque part : au fond de moi, je ne t’en veux pas ; je te trouve des raisons, une excuse, sinon des explications : toi aussi, comme moi, tu fais comme tu peux, avec ce que tu perçois, ce que tu comprends, ce que tu ressens et ce à quoi tu aspires !
Cela dit, il y a des différences....
 
Tu ne t'es plus senti m'aimer et j'ai été privé de ton amour, en continuant de t'aimer. Manque pour moi. Fardeau pour toi. C'est ton droit de femme et il me semble que, globalement, je le respecte. Même si j'ai souffert et souffre toujours de cette rupture.

Dans la foulée, tu m'as aussi privé de toutes relations avec tes enfants. Je ne crois pas que eux avaient demandé, ni à ce que je ne les aimes plus, ni à ne plus m'aimer. Je radote une fois de plus : le maintien d'une relation entre eux et moi ne les aurait pas abimé (et, je pense, que, s'ils le souhaitaient, la reprise d'une relation  entre eux et moi, ne les abimerait pas, pas plus que cela abimerait leur relation avec qui que se soit !). Mais la société et la morale de cette société est ainsi : c'est ton droit de mère, devant les hommes, de refuser cela.

Devant les hommes, ton droit de mère te donne le droit de "piétiner" et de cracher sur les milliers d'occasions, petits instants et grands moments, où TU AS PERMIS que des liens se tissent entre eux et moi.

Regardes toutes photos qui me relient à eux, et souviens toi... souviens-toi de comment j'étais avec eux, de comment ils étaient avec moi, de comment eux et moi étions ensemble ! Bordel, cela ne vaut vraiment rien à tes yeux ????????????!!!!!!!!!!!!! Pas plus qu'un kleenex, un tampon hygiénique, une serviette périodique que tu jettes dans les chiottes après usage ????????????

Je ne t’en veux pas : toi aussi, comme moi, tu fais comme tu peux, avec ce que tu perçois, ce que tu comprends, ce que tu ressens et ce à quoi tu aspires. Mais, diable, comment fais-tu pour percevoir cela comme ça, comprendre cela comme ça, aspirerà  et orchestrer cette destruction, et ressentir cela comme juste et bien ??????????????????????????????

Sincèrement, moi, je ne pourrais pas !!!! Et c'est sans doute pour cela que je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas !!!!

J'ai d'autant plus de mal à l'accepter  et à le comprendre que tu te refuses à m'aider à comprendre et à accepter cette chose, ces faits de ta part, qui te semble "à l'évidence" si compréhensible, acceptable, juste, et bien !!!

Et je suppose que tu trouves cela, compréhensible, acceptable, juste, et bien, pas seulement devant les hommes, mais aussi, j'imagine, compréhensible, acceptable, juste, et bien, aussi au nom de l'amour que tu portes à K. et E.

Qu'en penserait ta grand mère que tu chérissais tan ? Qu'en penserait l'amour que nous nous portions, s'il pouvait s'exprimer ? .Qu'en pense à ton avis l'Essence de l'univers ? Qu'il s'en fout ? Si oui, la chanson a surement raison : rien ne vaut au dessus de la ceinture !!!  A part les crocs qui permettent de déchiqueter et de mettre en pièce Et respect à tous les salopards de la terre -et éventuellement d'ailleurs - qui ont compris que le monde n'est fait que prédateurs et de proies.

La dernière fois où je suis passé chez toi, tu m'as dit un truc du genre : de notre histoire, que je ne regrettes pas, je garde le meilleur, les bons moments. Je me sens carcasse laissée sur le coté après le festin ! 


En quoi, aujourd'hui, te reste-t-il  de la foi ? Quelle capacité d'écoute et d'empathie te reste-t-il ? Au moins me concernant....
Je n’ai pas été à la hauteur des attentes de ton amour, dans les circonstances de notre amour, et ça a cassé ton amour. Je n’ai pas été à la hauteur de ta manière de rompre, dans les circonstances de cette rupture voulue par toi, et on voit le résultat.
Manifestement, je ne suis, aujourd’hui encore, pas à la hauteur des circonstances de ma vie, sur des tonnes de registre !  Demain, ou après-demain, peut-être, j’y arriverai, en dépit de mes démons, de tous mes démons que je peine toujours à corriger, et de ce mur de silence que tu as placé entre nous, et qui m’enferme, m’étouffe, et m’écrase, plus qu’il ne nous aide, je pense, aussi bien toi que moi, à tourner les pages qu’il faudrait tourner.

Demain, ou après-demain, peut-être, j’y arriverai à être à la hauteur des circonstances de ma vie !! Ou pas.Ou pas.Ou pas.Ou pas. On verra bien ! Snouf. Cqfd. Au passage, tiens, t'as vu, la maison dont JE rêvais pour nous semble avoir été vendue ! Crève-cœur (pour moi).
Quoi qu’il en soit, bonne rentrée à K. et E. À défaut d’eux, toi au moins, si tu lis ces lignes, tu sauras que je leur souhaite de tout cœur une bonne rentrée, ainsi que de bonnes nuits de début d'années scolaires, pleine de beaux rêves tout en couleurs. A fortiori, parce  que les rentrées, c’est souvent difficiles.
Je le embrasse l’un et l’autre très fort en pensées.
A toi aussi, je souhaite aussi de bonnes nuits. Ces soirs, nos différents, nos incompréhensions et tes refus de tout ce que je te demande, ne m’empêchent pas de te souhaiter très sincèrement de bonnes nuits. Et tout aussi sincèrement de beaux jours, et une bonne santé. Et….

vendredi 21 août 2015

.... Merci (maj 5) ...

Tourbillon de folie. Créateur : Richer-Lanciault Chloé
Merci bien pour ta compréhension, ton empathie, ton humanité à mon égard...

Je ne voulais pas t'importuner ; je ne voulais plus t'importuner. Mais, voilà, je me suis mis à espérer follement ces dernières semaines que des choses allaient pouvoir "changer". Va savoir ce qui m'a fait me mettre cela dans la tête, le cœur, les tripes !

Point d'orgue, ce rêve que j'avais fait et que j'espérais "prémonitoire". J'ai vraiment espéré follement, et sincèrement !!!!

Naïvement, j'ai cru dans la foulée que tu entendrais et exhausserais ma prière du 19/08 (Sur l'armoire du couloir de chez ma mère....). Et je me suis imaginé te remerciant du plus profond de mon cœur.

Au lieu de cela.... une fois encore, je me suis trompé !  Et à nouveau fracassé tout entier, la tête la première, contre le mur de tes silences et de tes refus.

Bien sur, tu n'es pas  responsable des manières dont je vis terriblement mal tes manières de  faire avec moi depuis ta décision de rupture ! Bien sur, tu n'es pas  responsable de la manière dont je ne réussis toujours pas à ne pas m'abimer profondément avec ça !

En revanche, tu ne peux pas dire que tu ne sais pas à quel point j'en souffre, à quel point cela me replonge régulièrement au fond du trou, Tu ne peux pas dire que tu n'es pas au courant de cela !!!!

En pour autant, pour l'heure, tu a fait le choix, et tu continues de faire le choix de n'en rien changer, de ne rien changer à  tes manières de  faire  à mon égard.

De ce choix là, tu es pleinement responsable. Et aujourd'hui encore, tu le fais toujours, et encore, et encore, en sachant parfaitement que j'en souffre terriblement.

Je ne comprends pas, comprends pas, comprends pas, ce qui en toi te fait continuer d'agir ainsi. A chaque fois que j'y pense, et j'y pense malheureusement souvent  ! - c'est façon 35 tonnes qui m'écrabouillent.

Et si tu lis régulièrement ces posts, je comprends encore moins. N'y vois-tu vraiment aucune détresse sincère,  ou te moques-tu totalement de la détresse qu'ils expriment ? Quelle peur, quel mal te ronge, pour qu'il en soit ainsi ? Haine  à mon égard ?

Cf dropbox 2015-08-23 15.14.33.jpg, j'arrive pas à m'en sortir. J'arrive pas à en sortir ! Quelque part, j'en suis profondément désolé, pour moi d'abord, pour toi ensuite ; mais j'arrive pas à m'en sortir ; j'arrive pas à en sortir ! Ton désamour, tu l'as "décidé". Il me fends toujours le cœur ; mais, c'est ton choix ; je ne peux pas t'obliger à m'aimer ! Et je ne vois pas aujourd'hui comment reconquérir ton amour. Je n'ai aujourd'hui toujours rien de mieux à t'offrir qu'il y a un an...

Mais K. et E., je me répète, pour quoi faire avoir décréter, et maintenir aujourd'hui encore,  la fin de toutes relations entre eux et moi ? Cela me semble toujours terriblement injuste. Et je ne perçois toujours pas en quoi c'est bon pour eux, en quoi, c'est mieux ainsi pour eux ! Et pour cela, cela m'abime encore plus que ton désamour.  Cela ne veut pas dire que mes sentiments pour eux sont plus forts que mes sentiments pour toi ! Cela ne se joue simplement pas dans la même cours !!!!!!!Tu te souviens de la chanson que tu m'as balancé un jour "en pleine gueule" ? "T'as eu c'que t'as voulu, même si t'as pas voulu c'que t'as eu"  Pour  toi, pour notre relation à nous deux, je l'accepte, avec tristesse et regrets ; mais je peux l'accepter. Je le vis différemment vis à vis de K. et E.


Pour toi, c'est certain, c'est plus simple ! Mais pour eux ?  Sauf erreur de ma part, ni moi, ni eux, n'ont voulu ça !!! Pour cela, je n'arrive pas à accepter cette rupture totale imposée, même si je sais pertinemment, que juridiquement, socialement, je n'ai aucun droit à faire valoir

Moralement ? Moralement, qu'en penses-tu ? Je me répète, encore et encore, de moi vis à vis d'eux, de eux vis à vis de moi, il me semble que, moralement....

Es-tu bien certaine qu'il ne reste plus rien en eux de l'affection qu'ils me portaient  ? Es-tu bien certaine que eux non plus n'aient plus aucune envie de me revoir

 Et si tu leur posais la question, tout simplement ? Et me dises tout simplement, en toute honnêteté, ce qu'il en est ?Et te conforme tout simplement, le cas échéant, à leur envie !!

 Quel mal y aurait-il à ce que je les invite à manger une glace, une pizza, voir un film, aller au bord de la Meuse,, si elle est encore bonne, ou se faire une séance de piscine ? Etc, etc. Que sais-je encore ; n'importe où où cela leur ferait plaisir, n'importe quoi, qui leur ferait plaisir, en somme !!! Et au besoin, sous surveillance de qui tu voudrais, de qui tu jugerais bon !!! J'accepterais même Bernadette !!! C'est dire....

Quoi qu'il en soit, j'arrive pas à m'en sortir. ; j'arrive pas à en sortir ! Tu veux que je te dises, et c'est pas facile : aies pitié, aies simplement pitié de moi, et de ma folie, si cela en est effectivement une..

SOS, SOS, SOS. Aies cette pitié, sinon pour moi, au moins, pour mes proches (ma mère, mon fils, ma fille, mes frères, ma soeur...). C'est pas désolant  une loque !!!!

Tu n'es certes pas  responsable des manières dont je vis terriblement mal tes manières de  faire avec moi depuis ta décision de rupture ; mais je me sens à nouveau happé, terriblement happé, à nouveau, par le fond du trou. J'en suis le seul coupable, OK.Quoi qu'il en soit, j'ai peur. Très peur. Je ne sais pas où cette descente va s’arrêter....

Prends sur toi, stp !!!!!!! Moi, je crains fort, toute fierté piétinée, de ne pas y arriver. .Aies pitié, aies simplement pitié de moi, et de ma folie, avec toute ta grandeur en face de toute ma petitesse. Fais cela, au moins pour ma mère, mon fils, ma fille.... SOS, SOS, SOS. Aides-moi, stp !!!!!!!!!!!!!!!!! A minima, même pour ne serait-ce que m'insulter, romps ton silence.






mercredi 19 août 2015

Sur l'armoire du couloir de chez ma mère....



Sur l'armoire du couloir de chez ma mère.... il y a toujours ce que tu sais, qui attends, qui attends, de quitter ce lieu.



Qu'est-ce qui fait que ne veut toujours pas prendre, pour K., pour E., au moins la boule de Noël pour L. ????



Pour quoi faire tu ne prends toujours pas, pour K., pour E., au moins la boule de Noël pour L. ???



Si tu me lis, pour quoi faire, aujourd'hui encore, tu ne me réponds jamais rien, ne serait-ce que par un commentaire sur ces pages ???





Reste près de moi Reviens (un peu !) vers moi...




Le ridicule ne tue pas, n'est-ce pas ?
M'en fous d'être ridicule à publier cela !!!!



C'est ma prière... Reviens (un peu !) vers moi... 

Prends demain ces choses là,

pour tes enfants,

pour ta nièce,... 



Et aussi, si tu me lis, puisses-tu me répondre, d'une manière ou d'une autre, (ne serait-ce qu'un peu !)

lundi 17 août 2015

Ce n’était donc pas un rêve prémonitoire, en tous cas pour aujourd’hui…

C’était dans le milieu de la nuit d’avant, avant, avant-hier….
Je me suis réveillé (une fois de plus, lol), après avoir rêvé de toi.
Rêve particulièrement prégnant et poignant pour moi.
Nous étions, je ne sais pas où – totalement impossible de me « souvenir » du « décor ».
Dans ma tête, mes images de ce rêve sont toutes entières, toi, en jean bleu délavé, avec tes baskets noires, ton blouson mauve et le gilet/polo échancré noir que tu portais à Pâques (2014). Et tes cheveux avec leurs reflets, et ta peau claire, et tes sourires, et tes yeux tantôt pétillants, tantôt imprégnés d’une sorte de mélancolie ; mais dont tes lunettes ne réussissent jamais à masquer la beauté.
Nous parlions, comme je rêve que nous nous parlions. D’une manière dont je peine à véritablement qualifier le ressenti que cela me procurait. Toutes armes, toutes angoisses déposées, en totale sincérité, en totale empathie ; avec pureté, si j’ose dire, si cela a un sens de dire cela.
Tu me parlais enfin, d’une manière intelligible pour moi, de tes ressentis qui t’avaient conduit à décider de rompre.
J’entendais, sans que cela soit nécessairement tes mots : impression de manque d’engagement de ma part dans notre relation, au-delà de ma présence à tes cotés quand je venais te rejoindre à V., sensation de surplace, d’absence de construction d’avenir, impression de me voir trop accroché à mon passé, à me plier maladroitement et de manière « conne »  en quatre pour mes enfants, et à travers eux pour leur mère, conjugué à des tonnes de négligences et d’inactions dès lors où il s’agissait de moi  pour commencer, et de nous, du coup, dans la foulée.
Tout cela est-il proche de la réalité de tes ressentis, de la manière dont tu as vécu les choses ?

Ensuite, ensuite, et cela te fera peut-être pousser des  cris de négation, tu me disais que si tout cela t’avait rendu la poursuite de notre relation impossible, quelque part, j’étais toujours resté et reste présent là, joignant un geste de ta main droite à ta parole, là, dans ton cœur, au plus profond de ton cœur. Mais que je t’avais infligé trop de déceptions pour que cela continue.

Et je voulais alors, et je m’apprêtais alors, une nouvelle fois, à t’inviter à reconstruire notre relation, cet amour qui a été le nôtre...

Quand j’ai écrit au début de ce post « prémonitoire », ce n’est pas que je me dis que tu me diras forcément un jour que « quelque part, j’étais toujours resté et reste présent là, joignant un geste de ta main droite à ta parole, là, dans ton cœur, au plus profond de ton cœur ». Même si je désire ton amour « à la folie ».

Ce en quoi je voudrais ce rêve « prémonitoire », c’est dans notre capacité à nous (re)parler toutes armes, toutes angoisses déposées, en totale sincérité, en totale empathie ; avec pureté.

Mes vacances sont finies. Chaque fois que je suis passé à V., j’ai été jusque La Poste, dans l’espoir d’apercevoir, ne serait-ce qu’un instant, K. et E. En vain.

Tu sais, c’est toujours une frustration, une peine, immense, pour moi de ne jamais les avoir revus, que tu ne veuilles plus que je les revoie, et qu’avant même que tu exprimes  clairement que tu ne souhaitais pas que je les revoie, que tu aies bien mis en place, au moins inconsciemment, des choses pour que cela  n’arrive pas.

Je crois aussi toujours que cela t’a évité, à toi, de devoir gérer le maintien d’une relation entre eux et moi alors que tu avais décidé de rompre avec moi. Plus simple, plus facile, pour toi. Mais que cela  ne les a protégés de rien de négatif contrairement à ce que toi, et ta sœur, a minima, sans doute tout ton entourage prétendaient . Bref....

Quelque part, en dépit de tout ce que cela a engendré en moi, je ne t’en veux pas ; tu as cru « bien faire ». Mais je peine à comprendre qu’aujourd’hui encore, tu penses bien faire en faisant ainsi…

J’ai envoyé une carte postale à K. et E. Deux en fait : une chez toi, une chez leur père, en me disant qu’ils auraient peut-être droit à au moins une des deux…

J’ai aussi envoyé une carte à tes parents, ainsi qu’à T.et M.. Si  tu lis ce post, tu ne seras pas surprise si les uns ou les autres t’en parlent.

Dans la foulée de ce rêve, j’ai réentendu la chanson « Voici les clefs…. » de Gérard Lenormand.

Bien entendu, ce n’est pas notre histoire !

….les dix-huit mois de Nicolas, les bouquins, le petit chien, l’anniversaire de Nicolas….
Il n’y a pas de Nicolas entre toi et moi, j’ai un seul bouquin de toi, et un petit poisson rouge porte clef.

Pour autant, elle me fait penser à toi, cette chanson ; et je ne suis pas prêt d’oublier ni K., ni E. ni leurs dates d’anniversaire, ni même maintenant les dates de vos fêtes respectives !

Je t'imagine repartie bosser

:-(

:-( Aucun signe..

Aucun signe de  ta part  :-( ; j'aurais bien aimé ; j'aimerais bien, pourtant ! Même si c'était juste un "là, pas possible, pas le temps ; une autre fois, si tu le veux bien....".

N'hésite pas....

Fin de mes congés ; reprise du boulot, aujourd'hui en télétravail, à Neuville.
Si tu lisais ce post ce midi, et que tu aies envie de me voir, apéro inhabituel d'un lundi midi, ou café, ou simplement pose clope (si tu fumes toujours), n'hésites pas à me faire signe ! Cela me ferait plaisir.

Et si tu avais jeté mes coordonnées, c'est facile : mon numéros de mobile est toujours  sur le FB.

jeudi 13 août 2015

Dodo

Dors bien. Je te souhaite à cette heure où je vais me coucher de bien dormir le reste de cette nuit. Et bonne journée aussi, pour quand, peut-être, tu liras ces mots. Douces pensées également pour blablabla

mardi 11 août 2015

Pensée stupide et incongrue

Avant hier soir. Partie de tarot avec fifille, ses amies, M. et H., et leur père, cet ami à moi que je souhaitais tant que tu connaisses, et que finalement, tu ne connais pas.
Je garde avec le 21 et le petit, et le roi de cœur.
J’appelle le roi de pique.
Dans le chien, l’Excuse et les rois de carreau et de trèfle.
Réflexion de F. , alors que C. est à côté de moi : tu as un pot de….

J’ai pensé alors à toi très fort en me demandant si tu étais en train de faire l’amour avec quelqu’un !
Partie gagnée avec 0 pli de l’autre côté.

Le cœur serré, j’ai pensé alors à toi encore plus fort en me redemandant si tu étais en train de faire l’amour avec quelqu’un…

Stupide, et incongrue, non, cette pensée-là, alors que cela fait maintenant bien plus d’un an que tu n’as plus voulu de moi ?!!

C’est pourtant ainsi. Cela ne m’amuse pas ; mais, c’est ainsi que va aujourd’hui encore, mon être. Je n'arrive toujours pas à faire le deuil.

jeudi 6 août 2015

Manifestement....

Manifestement, tu n'ai toujours pas décidé à prendre les cadeaux, même pas celui pour L. ....
Et j'imagine que tu l'es encore moins que je puisse revoir K. et E. Je ne parle même pas de nous revoir, nous, autrement que contraint, si je me trouve j'ai ma mère, quand tu dois y être pour ton boulot..

Mon "Snouf !", semble-t-il, était, sans espoir - ou prématuré.....

C'est un peu triste, non ?

Moi, en tout cas, je trouve cela triste, vraiment triste.

mercredi 5 août 2015

....

Pfff ... Snif... Blabla bla bla ;-) - enfin, il me semble pouvoir sourire là dessus, sur ce blablabla bla.

J'ai posé les cadeaux que tu sais sur l'armoire du couloir. Tu ne peux pas les rater. J'aimerai toujours que tu les prennes.

Juste celui pour L. ??
Juste pour L., K. et E. ?
 Celui pour toi aussi, ce clin d’œil de l'époque de Noel à toi, également ?

J'aimerai toujours que tu en prennes.ce que tu peux.

Snouf ?