dimanche 31 décembre 2017

Aujourd’hui 31/12, demain 2018, une nouvelle année (MAJ)



Aujourd’hui, dernier jour de 2017, en plus d’être l’anniversaire de E.
Ce soir, réveillon de la Saint Sylvestre.
Comme en 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016, je vais penser intensément à toi.

31/12/2011. J’ai l’impression d’entendre en moi ta voix de cette nuit du 31/12/2011. Tu te souviens ? Je retrouve en moi tes rires de cette nuit là, les manières dont tu t’esclaffais, un peu bourrée, et tout ce que j'ai pu ressentir durant cet échange. C'est dingue comme c'est gravé en moi, comme des millions d'autres choses te concernant.

Ce soir, cette nuit, comme en 2014, 2015 et 2016, avec le  cœur serré dans un étau, et en prise avec une immense tristesse, le  vœu le plus intense que je vais formuler dans mon fort intérieur, le vœu qui va m'emplir tout entier,  est celui de reconquérir ton cœur. Vœu jamais exaucé. Vœu que pourtant je n’arrive toujours pas à me dire comme totalement insensé. Et qui, "à vrai dire"  traine en moi, pratiquement tous les jours, tous les jours, tous les jours, depuis que....

Tu sais, je ne suis pas fier de moi de n’avoir jamais réussi à gérer correctement ta décision de rupture de 2014 ! Plus de 3 ans..... Bientôt presque 4 ans.... Pour un gars qui va en avoir 55 !!! Pathétique, n'est-ce pas ?

En moi, toujours cette même douleur, ce même déchirement intérieur. Et, en quelques parts en moi - c'est bien le moins que je puisse dire - j'en ai honte de ne pas avoir su gérer cela, de ne toujours pas réussir à gérer cela, moi, un gars qui va en avoir 55, qui a 2 grands enfants, etc. Et je souffre de ce que je suppose que cela t'inflige.
Mais quel bonheur, si tu pouvais m’appeler cette nuit, comme on s’était appelé en 2011 !
Quel bonheur, si tu pouvais m’inviter à passer te voir gentiment le 27/01 prochain. Même ne serait-ce que quelques minutes !
Je me répète en boucle. Je sais. C'est parce que je ressens en boucle ce que je répète et que je ne trouve pas d'issue. Il y en aurait bien une à portée de plein de choses ; mais, non, je ne peux pas fuir ainsi l'existence, mon existence, ni infliger cela à qui que ce soit ; ni a mes enfants, ni à ma mère, ni à toi, ni à tes enfants, pour commencer la liste J'espère que la perception de cette impossibilité me tiendra toujours, toujours, toujours ! Mais c'est un fait actuel : aujourd'hui, sans toi, et avec tout le reste de ma vie, la vie me pèse, aussi débile que cela soit.

J’éprouve toujours la sensation, le sentiment, la foi, la conviction, l’évidente certitude à mes yeux, que nous pourrions être heureux ensemble, que je saurais être désormais comme il faut être pour te rendre heureuse. A quoi bon vivre sans cela ? Évidement tu n'es pas la seule femme sur terre ! Évidement on peut vivre sans l'Amour, dés lors où on est entouré de tendresse et où l'on vit dans les respect. Mais à quoi bon pour soi-même ? Les petites joies d'ici et de là ne comblent pas chez moi le vide que je ressens, sans toi.

Avec mes tonnes de tendresse, avec tout mon amour, avec un humour et une joie de vivre retrouvés, avec une énergie nouvelle qui te ferait oublier « 2 de tension », avec des tas d’attentions pratiques, de la distance par rapport au boulot, par rapport à mes enfants, etc. nous pourrions être heureux ensemble. A quoi bon pour moi sans cela ? Qu'est-ce que j'aimerai trouver dans mes ressentis et non pas seulement dans  "ma logique' ! Cela irait tellement mieux pour moi (et pour toi que je laisserai alors sans doute "tranquille" !).

Si tu me redonnais ma chance, je saurais être le meilleur de moi-même et éviter la répétition des plus grosses erreurs que j’ai commises.
Tout de toi me manque toujours  !!!!!!!!!!!!!!!! Perçois tu ce que cela est en moi ?

Comme je l'ai déjà écris, c'est certain que je ne te décrocherai pas la lune. Mais je te
chérirai jusqu’à ma fin (Et je serai toujours plein d'attention également pour K. et E.).

On s'engueulerait parfois. Il faudrait absolument que l'on s'engueule, comme on a pas su le faire autrefois !!!!! Que tu m'engueules pour ne pas me laisser me perdre et perdre ton amour, comme cela s'est passé.

Ce que je ressens toujours aujourd'hui, le plus proche dans ce que tu as pu ressentir au cours de ta vie, c'est quand ton couple avec le père de tes enfants s'est effondré. Avant que tu ne réagisses et...

Jamais je ne comprendrais qu'il ait pu t'en préférer une autre ! Te regrette-t-il autant que je te regrette ?

Construire l’avenir, un avenir commun, pour les années où notre écart d'age est "acceptable",  avec toi en partageant les joies, les difficultés et les  peines du quotidien..... C’est toujours mon vœu le plus intense.
J’aimerai tant que tu acceptes en cette nouvelle année 2018 de me revoir en me donnant un peu de temps pour baisser ce qu’il y a en toi de négatif à  mon égard et que j'ai engendré par tout ce qui s’est passé entre nous depuis ta décision de rupture. J’aimerai tant que tu prennes le risque de voir si ton amour pourrait renaitre.
Est-ce plus fou que le fait de t’aimer toujours comme  je le fais ?

Ce soir, réveillon de la Saint Sylvestre. Je me demande (évidemment c'est con que je me demande ça) où tu vas le passer, avec qui tu vas le passer et si en ce moment tu es en plein préparatif.

Tristesse., tristesse, tristesse.

Et toi, à la veille de cette nouvelle année, as-tu le cœur joyeux ?
 

jeudi 28 décembre 2017

En boucle

La nuit m'a apportée un peu de répit : pendant mon sommeil, je n'ai pas sans cesse pensé à toi, me  semble-t-il.
Mais depuis peu avant mon réveil, c'est reparti. De nouveau pratiquement en boucle.

C'est très stupide : penser à toi comme je le fais alors que tu ne veux plus de moi cultive mon mal-être. Je le sais tout en ne réussissant pas à faire autrement.

J'aimerais pouvoir te parler ; j'aimerais pouvoir t"en parler, et toi tu ne veux pas. Tu crois bien faire, j'imagine. En faisant ainsi, tu crois peut-être même bien faire pour moi !


J'aimerais pouvoir te parler ; et toi tu ne veux pas. Ce matin à nouveau, tristesse profonde.



mercredi 27 décembre 2017

Tristesse

Tristesse....tristesse....tristesse....tristesse....tristesse....tristesse....tristesse....tristesse....tristesse....
tristesse....tristesse....tristesse....tristesse....tristesse....tristesse....tristesse....

mardi 26 décembre 2017

Batlle sheep

Batlle sheep, c'est le nom d'un jeu de société.
J'aimerai l'offrir à tes enfants....

A mon avis, K., E. et toi devriez aimer jouer ensemble à ce jeu.
http://videoregles.net/videoregle/battle-sheep

Si j'étais certain que tu l'acceptes, je le commanderais à l'instant !
Et cela ne me blesserait pas qu'ils ne sachent pas que ce soit moi qui l'aurait fait envoyé.

Le plaisir de savoir qu'ils prennent du plaisir à y jouer me suffirait.

Un "OK", en commentaire à ce post  pour me donner ton feu vert  ; un "Non  !", pour me signifier ton désaccord. Et aucun commentaire serait aussi une manière de me dire "OK ?"
....
Cela dit, j'espère que vous avez passé un bon Noël.

Si la qualité de ce Noël pour vous pouvait être à la hauteur du nombre de fois où j'ai pensé et où je pense encore à vous ce soir... alors vous devriez avoir passé un super Noël ! :-) Crois moi : mieux vaut en rire qu'en pleurer de ce fait là.

Bonne fin de festivités de Noël, bonne fin de soirée, puis bonne nuit et beaux rêves à vous trois.

Beaux rêves..... tu sais bien....tout en couleurs, et sans aucun cauchemar en noir et gris.

lundi 25 décembre 2017

Encore une fois...

Encore une fois... ....joyeux Noël
J'écris "encore une fois", parce que tu as dû recevoir la carte que je vous ai envoyée.

J'aimerais toujours tellement....

Il y a tant de choses que j'aimerai(s) te concernant !

jeudi 21 décembre 2017

Mystères de l'inconscient

Bouteille "à la mer". Peut-être liras tu ce post. Ou pas. Je ne sais. Je sais seulement que j'aimerais bien que tu le lises.

Je t'ai vu passer en voiture quand j'étais sur la place de la Mairie. Et je ne doute guère que tu m'as vu, moi et l'ébauche de signe que j'ai esquissé de la main, le cœur serré, fendu, d'un coup, en voyant passer ta voiture .
Tu m'as vu aussi sur le parking de l'Inter Je ne m'attendais pas dans la foulée de l'épisode précédent à voir ta voiture garée là. J'ai hésité l'apercevant à descendre de la mienne pour aller à l'Inter. Et puis j'ai pris mon courage à deux mains et j'y suis allé.

Qu'est-ce qui fait que sur la place de la Mairie, je me suis retourné juste au moment où ta voiture arrivait ? Le son de ta voiture serait-il à ce point gravé dans ma mémoire ? Est-ce que, de manière inconsciente, je le distingue de  tous les autres sons ? Ou est-ce autre chose qui m'a fait me retourner juste au moment où tu passais au niveau de la place ? Chose certaine : au moment où je me suis retourné, je ne savais pas POUR QUOI  je me retournais ! La vison de ta voiture est montée à ma conscience, et l'a submergée, avant que je perçoive ce qui m'avait conduit à me retourner. Et impossible de retrouver le fil.

Sur le parking de l'Inter, je ne m'attendais pas à ce que ta voiture démarre au moment où je prenais le chariot. Pour le coup, je me demande si tu as été dans l'Inter.... Je me suis efforcé en arrivant de ne pas regarder vers ta voiture. Du coup, je suis incapable de dire si tu étais au volant quand je me suis dirigé vers les chariots. Si tu as été dans l'Inter., tu as été sacrément vite pour faire les achats qui t'y ont conduit !

Quand tu as quitté en voiture le parking de l'Inter, je n'ai pas réussi à capter ta silhouette au volant, encore moins ton regard, etc.

 Tout cela arrive aujourd'hui. Coïncidence 1 : ce matin, je vous ai envoyé une carte postale de joyeux Noël, à E, à K, et à toi. Elle devrait arriver dans ta boite aux lettres demain, ou Samedi matin. N'en sois pas fâchée. Prends là avec plaisir, si possible. Et acceptes que K. et E. la voient.

Je repense à à tous les Noël depuis 2011. Veux tu bien y repenser aussi dans le contexte de notre relation (ce qu nous a rapproché, ce qui nous unissait, et après). Je repense encore plus fort au 27 janvier 2012. Je repense, repense, repense....

J'ai tellement rêvé dans la foulée de ce 27 janvier là ! Bientôt 6 ans... Des tas de conneries de ma part depuis, des circonstances qui ne sont plus les mêmes, des leçons tirées... Six ans... Ça pèse quoi  six  ans à l'échelle de nos vies ?

Je m'en veux terriblement de nous avoir emmener, depuis,  là où nous en sommes l'un par rapport à l'autre, aujourd'hui !
Et "l'un des pires pour moi", c'est que c'était pavé des meilleures intentions de ma part pour ceux que j'aime toujours le plus au monde : toi, mes enfants et tes enfants. Je perçois "l'épisode Esther" comme une vraie FAUTE à ton égard. Le reste, des erreurs, des erreurs, des erreur de ma part. Si seulement au moins tu ressentais que tout ce que j'ai fait et qui ne t'as pas été, je ne l'ai commis "que par erreur". Et acceptais de me le dire. En tête à tête, de vive voix.

En ce mois de décembre 2017, j'ai aussi acheté des cartes d'anniversaire pour K. et E., que je prévois de leur envoyer. N'en sois pas fâchée ; c'est tout ce qu'il me reste comme possibilité de leur témoigner cette affection profonde qui reste ancrée en moi, avec mes messages de "bonnes vacances", "bonne rentrée" et "joyeux Noël". Bien sût, il y a également de leur dire "bonjour"les rares fois où je les croise. Mais ce n'est pas pareil.

Coïncidence 2  : Ces cartes, je les au acheté au Leclerc de... Et le jour où je les ai acheté, dans ce Leclerc, j'ai croisé ton oncle et ta tante. On a échangé quelques mots. J'ai eu presque envie de leur parler des cartes qui étaient à ce moment là dans le cadi, envie également  de les montrer à ta tante ! Je ne l'ai pas fait. Quelque chose m'a retenu que je ne réussis pas à qualifier.

Je lui ai dit aussi à quel point cela m'attristait de ne plus voir aucune des personnes de ton entourage que j'avais appréciées, à commencer par elle. Elle m'a répondu qu'il ne fallait pas, que ce serait me faire du mal. Je n'ai pas réussi à lui répondre que ce n'est pas ainsi que je le ressens. Mais c'est un fait, ce n'est pas ainsi que je le ressens.

Ta tante m'a par ailleurs à nouveau conseillé de me (re)faire aider.... Et m'a donné des coordonnées d'un psy. Je ne sais pas ce que je vais en faire. Je t'aime toujours. Tu ne m'aime plus. Et ce "décalage' m'empoisonne la vie. Qu'est ce qui me retient de retourner voir un psy ? D'être déçu de mes précédentes tentatives ? Sans doute. Cette équation est-elle soluble : ce n'est pas ne plus t'aimer que je voudrais ; c e n'est pas de continuer de t'aimer que je voudrais "guérir" ; ce que je voudrais, à défaut de reconquérir ton amour, c'est  réussir à vivre sereinement le fait que tu ne m'aimes plus puisque je n'ai pas su préserver ton amour. quel psy peut-il me guider vers ce chemin ?

Je t'aime toujours. Tu ne m'aimes plus. Tu voudrais ne plus "entendre parler de moi". J'arrive, je crois, tant bien que mal, à "me tenir à distance" ; mais, effectivement, pas à disparaitre. Un jour peut-être accepteras-tu que je t'en parle, que nous parlions, en tête à tête.


Souvenirs. Tu te souviens  ? Je crois que c'est la première fois que "j'ose" cette référence :


Moi, j'aimerais tellement....

Toi, qu'attends tu de ta vie pour les années à venir ? Tu as 12 ans de moins que moi. Tu verras, elles vont passer en deux éclairs ces 12 années !!! Si tu doutes sur ce point, demandes à ton père, ta mère, ta tante, ton oncle. Ne fais pas la même connerie que moi : ne fait pas de tes enfants le centre de gravité de ton monde. Quand ils seront grands, il risque d'être bien tard, voire trop tard pour rattraper les trains ratés.

Tendresse. Je t'ai écris les 6 phrases qui précèdent avec tendresse. Je crois que c'est l'une des qualités que l'on partage....

Nous n'avons plus 20 ans. Moi, bien moins que toi, c'est clair ! Mais toi non plus.  que souhaites-tu de ta vie pour les années à venir ? Je n'ai que moi et mon amour à t'offrir. Je te l'accorde, ce n'est pas grandes choses. Je prétends juste avoir, dans la foulée de ta décision de rupture, appris de mes erreurs et de mes aveuglements. Aussi de pouvoir te rendre heureuse. C'est prétentieux ? Peut-être. Je ne te demande pas un "chèque en blanc". Mais je voudrais que tu prennes le risque, "à l'essai". Je ne dis pas que je commettrais pas aucun nouveau faux pas ! Mais je prétends qu'avec ton aide  et les leçons apprises de part et d'autres de nos échecs en général et de notre échec en 2014, nous sommes armés pour trouver la voie d'être heureux ensemble. Ton copain ? Qu'est-ce qui fait que vous ne vivez pas ensemble dans une maison achetée ensemble ?

La dernière fois où l'on s'est eu au téléphone, ce que tu m'as dit de ce qui te conduisait à me rejeter me semble surmontable. Parce que j'ai appris douloureusement de  notre échec de2014. Parce que bien des circonstances ont changé. Et que si tu me dis les choses au fil de l'eau bien plus vertement que tu ne l'as fait quand nous étions ensemble, je suis convaincu que je saurais redresser les situations à temps. Une nouvelle année arrive. Ne veux-tu pas m'inviter chez toi le 27 janvier 2018 ? C'est un samedi. Un rêve ! A défaut, un resto ?

Quoi qu'il en soit....

Stp S. arrête d'être fâché contre moi de ce que je fais depuis ta décision de rupture, ou pour le moins, couvre moi d’indulgence, offre moi encore plus d'indulgence que celle que tu as sans doute la sensation de m'accorder depuis ta décision de rupture. Tout ce que je t'ai fait subir (te fait subir ?) depuis te décision de rupture, est engendré par l'Amour que je te porte, et cette sensation, conviction, certitude, perception, peut-être folle et déraisonnable (certes !), que nous pourrions être heureux ensemble, si seulement tu voulais bien prendre le risque de retenter l'aventure, combien même tu te sois juré le contraire.

Qui peut t'aimer plus que moi ?  Mis à part, tes parents et tes enfants ; mais ce n'est pas d’amour filial que je parle.

Plus de trois ans, comme tu disais ! Tu as dû le voir en m'apercevant sur la  place : j'ai vieilli.   Quand nous étions ensemble,, j'avais l'impression de faire un peu plus jeune que mon âge. Aujourd'hui, je ne me sens plus ainsi. Pire : .impression d'avoir pris bien plus de vingt ans en trois ans. Pour autant, je serais près à presque tout avec toi. Y compris avoir un nouvel enfant ! C'est dire : je ne vois guère de risques que je ne serais pas près à prendre pour toi, à courrir avec toi.

Je t'aime. Toujours, toujours, toujours. Et sans doute pour toujours. Un jour peut-être accepteras-tu que je t'en parle, en tête à tête. Puisse ce jour arriver bien avant qu'il ne soit trop tard pour ne pas regretter l'un ET l'autre de ne pas l'avoir fait plus tôt. Écrivant cette dernière phrase, je ne cherche pas à dire que immanquablement tu regretteras un jour de ne pas avoir donner une nouvelle chance à notre relation. Juste une chance à moi, à ma vie, pour les années qu'il me reste, à travers le fait d'un tel tête à tête. C'est comme le loto. On ne gagne pas à tous les coups, loin de là ! Mais sans jouer, c'est certain, aucun risque / aucune chance de gagner.

Bonne fin de soirée, même si tu ne lis pas ce post ce soir, ce souhait est là.
Bonne nuit aussi.

PPR