lundi 17 avril 2017

Pâques, c'est fini

Presque un mois ; presque un mois que "j'ai réussi" à ne pas écrire ici. Non pas que je n'y ai pas pensé, et que.... blablabla.
Ce soir, l'envie d''exprimer, et que peut-être tu lises est trop forte, pour réussir à ne pas écrire. Même si cela ne ssrt à rien.
Oh, je ne vais pas trouver des mots puissants, des mots qui réussiraient à ne laisser aucun abime de différence entre ce que je ressens et ce que tu pourras en percevoir en lisant, si tu lis.
Juste quelques mots pour palier à cette impossibilité de te parler qui me mine.

Pâques, c'est fini. Plaisir fort d'avoir vu mes enfants. Moments de joie à voir L. et P. chercher les chocolats dans le jardin. Mais aussi moments cachés de grande douleur intérieur à penser à toi, à penser à toi et tes enfants, toi, tes enfants,et toute ta famille, la tête, le cœur et les tripes emplis d'images et de souvenirs de moments de Pâques passés avec toi. Je l'ai là devant mes yeux ce poisson de Pâques que je t'avais offert il y a cinq ans. Je l'ai là devant les yeux cette sucette coquine que tu m'avais offerte il y a quatre ans. Je blablabla.

J'aimerai tant reconquérir ton cœur, ton amour, ton désir, faire renaitre ton envie d'un nous deux.

La douleur est toujours là en moi, très forte. Ainsi que cet espèce d'espoir aussi insensé qu'un idéal qui continue de m'habiter sinon de me posséder.

Bonne nuit à toi, S. si tu lis ces mots ce soir.

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