Grand spleen. J'aimerai que tu m'appelles. J'aimerai pouvoir te parler. J'aimerai pouvoir te voir. Mais tout cela, c'est sans doute trop te demander.
J'espère que toi au moins tu vas bien. Ainsi que K., et E. Et toute ta famille. Et...
En ce soir, veille de 1er mai, gros spleen.
dimanche 30 avril 2017
lundi 24 avril 2017
C'était il y a cinq ans (1)
C'était il y a cinq ans. Je ne pense pas à une journée précise, pas spécialement ni au 23 ni au 24/04/2012, ni au premier soir de l’élection présidentiel de 2012, dont je ne sais plus le jour exact.
Je pense à la période. Marqué pour moi sur le plan boulot à l'époque par l’élection présidentielle. Projet né sous la droite et que je croyais pouvoir être réalisé sous la gauche. Et moi je croyais que m'engager à fond la dedans était le meilleur moyen de donner un maximum de chance à notre amour alors encore jeune tout en préservant un maximum mes enfants des conséquences matérielles de ma séparation d'avec leur mère.
Je me suis planté sur toute la ligne, en long, en large, et en travers. J'ai commis toutes les conneries possibles qui petit à petit m'ont fait perdre ta confiance, ton amour, ta foi en un futur possible au long cour, avec moi.
Je me sens plein d'indulgence pour Hollande.
Je ne sais pas si lui n'a pas été à la hauteur le cœur rempli des meilleures intentions. Je sais juste que moi oui.
Tu dors surement....
Cela doit être vrai à 1h25 du matin. Allez, souris, ce post est désormais le 3ème résultat sur 555 000 en recherche Google sur ces mots "Tu dors surement". Je préférerais avoir su garder ton amour !
Je te souhaite pour la suite de ta nuit de beaux rêves, tout en couleurs. Comme en ce mois d'août 2016, je ne suis qu'un homme, un homme, qui t'aime toujours.
Je pense à la période. Marqué pour moi sur le plan boulot à l'époque par l’élection présidentielle. Projet né sous la droite et que je croyais pouvoir être réalisé sous la gauche. Et moi je croyais que m'engager à fond la dedans était le meilleur moyen de donner un maximum de chance à notre amour alors encore jeune tout en préservant un maximum mes enfants des conséquences matérielles de ma séparation d'avec leur mère.
Je me suis planté sur toute la ligne, en long, en large, et en travers. J'ai commis toutes les conneries possibles qui petit à petit m'ont fait perdre ta confiance, ton amour, ta foi en un futur possible au long cour, avec moi.
Je me sens plein d'indulgence pour Hollande.
Je ne sais pas si lui n'a pas été à la hauteur le cœur rempli des meilleures intentions. Je sais juste que moi oui.
Tu dors surement....
Cela doit être vrai à 1h25 du matin. Allez, souris, ce post est désormais le 3ème résultat sur 555 000 en recherche Google sur ces mots "Tu dors surement". Je préférerais avoir su garder ton amour !
Je te souhaite pour la suite de ta nuit de beaux rêves, tout en couleurs. Comme en ce mois d'août 2016, je ne suis qu'un homme, un homme, qui t'aime toujours.
lundi 17 avril 2017
Pâques, c'est fini
Presque un mois ; presque un mois que "j'ai réussi" à ne pas écrire ici. Non pas que je n'y ai pas pensé, et que.... blablabla.
Ce soir, l'envie d''exprimer, et que peut-être tu lises est trop forte, pour réussir à ne pas écrire. Même si cela ne ssrt à rien.
Oh, je ne vais pas trouver des mots puissants, des mots qui réussiraient à ne laisser aucun abime de différence entre ce que je ressens et ce que tu pourras en percevoir en lisant, si tu lis.
Juste quelques mots pour palier à cette impossibilité de te parler qui me mine.
Pâques, c'est fini. Plaisir fort d'avoir vu mes enfants. Moments de joie à voir L. et P. chercher les chocolats dans le jardin. Mais aussi moments cachés de grande douleur intérieur à penser à toi, à penser à toi et tes enfants, toi, tes enfants,et toute ta famille, la tête, le cœur et les tripes emplis d'images et de souvenirs de moments de Pâques passés avec toi. Je l'ai là devant mes yeux ce poisson de Pâques que je t'avais offert il y a cinq ans. Je l'ai là devant les yeux cette sucette coquine que tu m'avais offerte il y a quatre ans. Je blablabla.
J'aimerai tant reconquérir ton cœur, ton amour, ton désir, faire renaitre ton envie d'un nous deux.
La douleur est toujours là en moi, très forte. Ainsi que cet espèce d'espoir aussi insensé qu'un idéal qui continue de m'habiter sinon de me posséder.
Bonne nuit à toi, S. si tu lis ces mots ce soir.
Ce soir, l'envie d''exprimer, et que peut-être tu lises est trop forte, pour réussir à ne pas écrire. Même si cela ne ssrt à rien.
Oh, je ne vais pas trouver des mots puissants, des mots qui réussiraient à ne laisser aucun abime de différence entre ce que je ressens et ce que tu pourras en percevoir en lisant, si tu lis.
Juste quelques mots pour palier à cette impossibilité de te parler qui me mine.
Pâques, c'est fini. Plaisir fort d'avoir vu mes enfants. Moments de joie à voir L. et P. chercher les chocolats dans le jardin. Mais aussi moments cachés de grande douleur intérieur à penser à toi, à penser à toi et tes enfants, toi, tes enfants,et toute ta famille, la tête, le cœur et les tripes emplis d'images et de souvenirs de moments de Pâques passés avec toi. Je l'ai là devant mes yeux ce poisson de Pâques que je t'avais offert il y a cinq ans. Je l'ai là devant les yeux cette sucette coquine que tu m'avais offerte il y a quatre ans. Je blablabla.
J'aimerai tant reconquérir ton cœur, ton amour, ton désir, faire renaitre ton envie d'un nous deux.
La douleur est toujours là en moi, très forte. Ainsi que cet espèce d'espoir aussi insensé qu'un idéal qui continue de m'habiter sinon de me posséder.
Bonne nuit à toi, S. si tu lis ces mots ce soir.
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