lundi 27 février 2017

C’est trop con.(MAJ)


Je l’ai surement déjà écrit ; et peut-être même avec ces mêmes mots : « C’est trop con ».
C’est trop con, je trouve, d’en être là où nous en sommes aujourd’hui. D’en être arrivé là, toi et moi ; d’en être arrivé là, « nous deux ». Ce soir, ce sont ces mots-là, cette expression-là qui….
C’est trop con. Je crois (je me trompe ?) que tu m’as aimé sincèrement, et même beaucoup. Je me trompe ? J’ai fait des erreurs sur le chemin de notre amour, pour le préserver et lui permettre de s’épanouir en dépit des embuches et des difficultés. Tu as fait des erreurs toi aussi. Non ? Il me semble ; je te l’ai déjà écrit, blablabla. C’est trop con que nous n’ayons pas su, pas réussi, l’un et l’autre, à faire autrement que comme nous avons fait, l’un et l’autre. Non ? Rien que cette question-là mériterait, à mes yeux, un dialogue !
C’est trop con. J’ai quitté la région p. Je suis divorcé. Je suis revenu habité dans le coin. J’ai trouvé un job dans le coin. Certes pas à la hauteur de ce que j’espérais en me défonçant pour le succès de D. Tu te souviens quand je disais : « je veux réussir cela et des portes s’ouvriront à moi, ici, ou au Luxembourg, et… ». Blablabla.
Remarque, je m’en tire pas trop mal, au moins au niveau salaire, avec cette casserole, 50 K€ par an… on fait pire dans le coin ! Et, en étant licencié, je n’ai pas trop mal négocié…
Mais aujourd’hui, cela ne vaut rien ! Du coté de mes enfants, ce que j’ai sacrifié, n’aura servi à rien. Pas leur faute : la mienne, purement : faute à mes erreurs de perception de ce qui était important pour eux, de moi à eux, et ne l’était pas. Aujourd’hui, je pense que j’ai trouvé et je suis en paix avec moi-même sur ce registre-là. Ma fille m’a demandé dernièrement : « mon iPhone est KO. T’en a un autre par le boulot ; tu me revends le tien pas cher?». J’ai répondu : « non, débrouilles toi, prends un Samsung, je le garde en secours ». En creux, avec les 800 € que je verse tous les mois pour toi, c’est bon. J’ai les victoires sur moi-même que je peux :-(
J’ai commis des tonnes d’erreurs ! C’est vrai. Et je n’ai pas fini de corriger ce que je crois avoir perçu de « ces petits travers » qui ne t’ont plus amusés. Je bosse toujours trop... Je n’ai pas complétement tordu le cou à la procrastination pour le reste. Je ne prends toujours pas assez soin de moi. Mais je cuisine ; je saurais bricoler ; je « fais des fraises » (en pensant à K....). Je saurais n’avoir des yeux que pour toi (cela dit, je ne t’ai jamais « trompé », comme on dit ; i.e., jamais fait l'amour avec une autre que toi quand nous étions ensemble) Je suis vraiment au clair avec mes enfants, leur mère, etc. Blablabla.
C’est trop con. Bien entendu, on effacera jamais ce qui s’est passé, ni ce qui ne s’est pas passé. Mais une nouvelle chance à cet amour qui était le nôtre ? Moi, en l’état, je crois toujours cela possible. Trop con de croire profondément eu cela ?

C’est trop con. Es-tu heureuse en amour ? Si tu es heureuse en amour, exprimes le moi, ou même plutôt, montre le moi ! Cela, si je puis dire, donnerait du sens audible pour moi à un bout de tes refus, de tes rejets, etc. Blablabla.

Mais si tu n’es pas heureuse aujourd’hui en amour… Alors, je trouve cela, d’en être là où nous en sommes aujourd’hui, d’en être arrivé là, toi et moi ; d’en être arrivé là, « nous deux », encore plus con. Non ????!!!! Comprends-tu ce que je cherche à exprimer ? Si seulement tu acceptais que, toi et moi, nous en parlions ! Cela ne dépends que de toi.

Bonne nuit, vraiment Si tu lis ce post ce soir, je ne souhaite pas qu’il perturbe ta nuit. Vraiment pas. Je t’embrasse de tout cœur.

Et si ce post, ce message, ce texte, te semble délirant, comme sans doute bien des choses que j'ai pu écrire ici, essaies S., de faire, si tu le veux bien, si tu le peux (si tu oses en prendre le risque ?) un pas de coté, un pas en arrière - tu sais, je pense à ces trucs qui donnent du recul et de la hauteur de vue sur les choses - et de le relire, autrement, avec un autre regard, un autre entendement, une autre posture, avec ouverture, etc., blablabla.

Je t'aime toujours ; quoi de moche là-dedans ?

vendredi 24 février 2017

Evidence / Hérésie / SOS (MAJ 7)

On se rendrait heureux l'un l'autre si nous étions ensemble !
Ces mots, ces mots qui précédent, cela reste une évidence, une certitude profonde, pour moi. Et c'est devenue une hérésie pour toi.

Acceptes que l'on se parle, S., stp. STP.

Tu sais, tu vois, bien sur que tu le sais et que tu le vois : je n'arrive pas à en sortir de cette boucle !

Depuis maintenant plus de deux ans, tes silences, tes refus, ne m'aident pas à me sortir de cette boucle. Ils devraient. Je sais, oui, que ça devrait : tout le monde, ou presque, pense ainsi, à part moi.

Tu penses sans doute que je devrais comprendre que je n'ai rien d'autre d'important à savoir, à comprendre, et à admettre, que le fait que, simplement, tu ne veux plus entendre parler de moi. J'essaie vraiment de me dire cela : qu'il n'y a rien d'autre d'important à savoir, à accepter  et à admettre, pour moi, que, simplement : tu ne veux plus entendre parler de moi.

Je n'y arrive pas !  Je n'y arrive pas ! Je n'y arrive pas ! Je n'y arrive pas ! Je n'y arrive pas ! Je n'y arrive pas !  Stp, S., acceptes que l'on se parle ; acceptes de tenter de m'aider, autrement que comme sans doute tu as pensé essayer de le faire, et pense peut-être encore essayer de le faire, à travers tes refus et tes silences.

Je me souviens de tes paroles : "Et je me dis que ça ne sert à rien d'essayer d'être gentille avec toi, car autrement, tu vas te faire des illusions..." Je n'ai pas réussi alors, je crois, à te répondre quoi que ce soit. C'était dans la chambre de ma mère, la dernière fois, ou l'avant dernière fois, quelque chose comme ça, où tu es venu chez elle. J'étais assis sur le lit de ma mère. Toi, tu étais à coté de la table.

STP S., acceptes que l'on se parle. Entends ce SOS.

Peut-être, oui que cela ne servira à rien... Je ne sais pas. Je ne sais plus rien. Je sais juste que j'ai mal et que je n'arrive pas à en sortir. STP S., acceptes que l'on se parle, acceptes de m'écouter, de me répondre, de me dire tout ce que tu as en toi me concernant, d'écouter ce que je pourrais répondre ; acceptes de dialoguer avec moi. STP S., acceptes, acceptes, acceptes.

18/02 matin : S., je ne sais pas comment te faire percevoir ce que je ressens. Je ne sais pas comment te faire sentir à quel point, ce dialogue, cet échange, c'est important - le mot est faible - pour moi. STP S., acceptes.
18/02 soir : Je ne sais pas si tu as lu ce post. Si tu l'as lu, je ne sais pas quoi ajouter pour que tu comprennes à quel point... STP S., acceptes. Je te souhaites une bonne nuit. Pas d'ironie dans ce souhait. Il est sincère.
20/02 soir :  Si tu me lis, et que tu mesures à quel point c'est important pour moi, et que tu ne répondes pas, alors c'est terrible, terrible, terrible. En es-tu arrivée à me haïr à ce point ?

21/02 soir : Tu t'en fous ? Faut que je fasse quoi pour que tu comprennes, que tu mesures, que tu réagisses ? Faut que je fasse quoi, faudrait que j'en arrive à quoi ?  STP S., acceptes

22/02 soir : Ça continue de me tuer intérieurement ; tu en as conscience, ou pas ? Tu le perçois, ou pas ? Si tu me lis, jusqu'où, jusqu'à quand me laisseras tu sombrer ? As-tu encore confiance en moi au point d'être certaine que je réussirais à m'en remettre "au bout du compte" ? Ah, ah, ah ! Si "oui", t'es bien plus confiante en moi, que moi ! STP S., acceptes.

23/02 matin :  Bonne journée. Moi en tout cas, je n'ai pas de haine. Que des incompréhensions, des interrogations, des colère parfois, des douleurs, du mal-être, de la tristesse et de l'amour. Bonne journée.

25/02 00:02 :  Réponds à mon SMS, STP. Acceptes STP.

mercredi 22 février 2017

Evidence / Hérésie / SOS (MAJ 6)

On se rendrait heureux l'un l'autre si nous étions ensemble !
Ces mots, ces mots qui précédent, cela reste une évidence, une certitude profonde, pour moi. Et c'est devenue une hérésie pour toi.

Acceptes que l'on se parle, S., stp. STP.

Tu sais, tu vois, bien sur que tu le sais et que tu le vois : je n'arrive pas à en sortir de cette boucle !

Depuis maintenant plus de deux ans, tes silences, tes refus, ne m'aident pas à me sortir de cette boucle. Ils devraient. Je sais, oui, que ça devrait : tout le monde, ou presque, pense ainsi, à part moi.

Tu penses sans doute que je devrais comprendre que je n'ai rien d'autre d'important à savoir, à comprendre, et à admettre, que le fait que, simplement, tu ne veux plus entendre parler de moi. J'essaie vraiment de me dire cela : qu'il n'y a rien d'autre d'important à savoir, à accepter  et à admettre, pour moi, que, simplement : tu ne veux plus entendre parler de moi.

Je n'y arrive pas !  Je n'y arrive pas ! Je n'y arrive pas ! Je n'y arrive pas ! Je n'y arrive pas ! Je n'y arrive pas !  Stp, S., acceptes que l'on se parle ; acceptes de tenter de m'aider, autrement que comme sans doute tu as pensé essayer de le faire, et pense peut-être encore essayer de le faire, à travers tes refus et tes silences.

Je me souviens de tes paroles : "Et je me dis que ça ne sert à rien d'essayer d'être gentille avec toi, car autrement, tu vas te faire des illusions..." Je n'ai pas réussi alors, je crois, à te répondre quoi que ce soit. C'était dans la chambre de ma mère, la dernière fois, ou l'avant dernière fois, quelque chose comme ça, où tu es venu chez elle. J'étais assis sur le lit de ma mère. Toi, tu étais à coté de la table.

STP S., acceptes que l'on se parle. Entends ce SOS.

Peut-être, oui que cela ne servira à rien... Je ne sais pas. Je ne sais plus rien. Je sais juste que j'ai mal et que je n'arrive pas à en sortir. STP S., acceptes que l'on se parle, acceptes de m'écouter, de me répondre, de me dire tout ce que tu as en toi me concernant, d'écouter ce que je pourrais répondre ; acceptes de dialoguer avec moi. STP S., acceptes, acceptes, acceptes.

18/02 matin : S., je ne sais pas comment te faire percevoir ce que je ressens. Je ne sais pas comment te faire sentir à quel point, ce dialogue, cet échange, c'est important - le mot est faible - pour moi. STP S., acceptes.
18/02 soir : Je ne sais pas si tu as lu ce post. Si tu l'as lu, je ne sais pas quoi ajouter pour que tu comprennes à quel point... STP S., acceptes. Je te souhaites une bonne nuit. Pas d'ironie dans ce souhait. Il est sincère.
20/02 soir :  Si tu me lis, et que tu mesures à quel point c'est important pour moi, et que tu ne répondes pas, alors c'est terrible, terrible, terrible. En es-tu arrivée à me haïr à ce point ?

21/02 soir : Tu t'en fous ? Faut que je fasse quoi pour que tu comprennes, que tu mesures, que tu réagisses ? Faut que je fasse quoi, faudrait que j'en arrive à quoi ?  STP S., acceptes

22/02 soir : Ça continue de me tuer intérieurement ; tu en as conscience, ou pas ? Tu le perçois, ou pas ? Si tu me lis, jusqu'où, jusqu'à quand me laisseras tu sombrer ? As-tu encore confiance en moi au point d'être certaine que je réussirais à m'en remettre "au bout du compte" ? Ah, ah, ah ! Si "oui", t'es bien plus confiante en moi, que moi ! STP S., acceptes.

23/02 matin :  Bonne journée. Moi en tout cas, je n'ai pas de haine. Que des incompréhensions, des interrogations, des colère parfois, des douleurs, du mal-être, de la tristesse et de l'amour. Bonne journée.

mardi 21 février 2017

Evidence / Hérésie / SOS (MAJ 4)

On se rendrait heureux l'un l'autre si nous étions ensemble !
Ces mots, ces mots qui précédent, cela reste une évidence, une certitude profonde, pour moi. Et c'est devenue une hérésie pour toi.

Acceptes que l'on se parle, S., stp. STP.

Tu sais, tu vois, bien sur que tu le sais et que tu le vois : je n'arrive pas à en sortir de cette boucle !

Depuis maintenant plus de deux ans, tes silences, tes refus, ne m'aident pas à me sortir de cette boucle. Ils devraient. Je sais, oui, que ça devrait : tout le monde, ou presque, pense ainsi, à part moi.

Tu penses sans doute que je devrais comprendre que je n'ai rien d'autre d'important à savoir, à comprendre, et à admettre, que le fait que, simplement, tu ne veux plus entendre parler de moi. J'essaie vraiment de me dire cela : qu'il n'y a rien d'autre d'important à savoir, à accepter  et à admettre, pour moi, que, simplement : tu ne veux plus entendre parler de moi.

Je n'y arrive pas !  Je n'y arrive pas ! Je n'y arrive pas ! Je n'y arrive pas ! Je n'y arrive pas ! Je n'y arrive pas !  Stp, S., acceptes que l'on se parle ; acceptes de tenter de m'aider, autrement que comme sans doute tu as pensé essayer de le faire, et pense peut-être encore essayer de le faire, à travers tes refus et tes silences.

Je me souviens de tes paroles : "Et je me dis que ça ne sert à rien d'essayer d'être gentille avec toi, car autrement, tu vas te faire des illusions..." Je n'ai pas réussi alors, je crois, à te répondre quoi que ce soit. C'était dans la chambre de ma mère, la dernière fois, ou l'avant dernière fois, quelque chose comme ça, où tu es venu chez elle. J'étais assis sur le lit de ma mère. Toi, tu étais à coté de la table.

STP S., acceptes que l'on se parle. Entends ce SOS.

Peut-être, oui que cela ne servira à rien... Je ne sais pas. Je ne sais plus rien. Je sais juste que j'ai mal et que je n'arrive pas à en sortir. STP S., acceptes que l'on se parle, acceptes de m'écouter, de me répondre, de me dire tout ce que tu as en toi me concernant, d'écouter ce que je pourrais répondre ; acceptes de dialoguer avec moi. STP S., acceptes, acceptes, acceptes.

18/02 matin : S., je ne sais pas comment te faire percevoir ce que je ressens. Je ne sais pas comment te faire sentir à quel point, ce dialogue, cet échange, c'est important - le mot est faible - pour moi. STP S., acceptes.
18/02 soir : Je ne sais pas si tu as lu ce post. Si tu l'as lu, je ne sais pas quoi ajouter pour que tu comprennes à quel point... STP S., acceptes. Je te souhaites une bonne nuit. Pas d'ironie dans ce souhait. Il est sincère.
20/02 soir :  Si tu me lis, et que tu mesures à quel point c'est important pour moi, et que tu ne répondes pas, alors c'est terrible, terrible, terrible. En es-tu arrivée à me haïr à ce point ?

21/02 soir : Tu t'en fous ? Faut que je fasse quoi pour que tu comprennes, que tu mesures, que tu réagisses ? Faut que je fasse quoi, faudrait que j'en arrive à quoi ?  STP S., acceptes.

samedi 18 février 2017

Evidence / Hérésie / SOS (MAJ 4)

On se rendrait heureux l'un l'autre si nous étions ensemble !
Ces mots, ces mots qui précédent, cela reste une évidence, une certitude profonde, pour moi. Et c'est devenue une hérésie pour toi.

Acceptes que l'on se parle, S., stp. STP.

Tu sais, tu vois, bien sur que tu le sais et que tu le vois : je n'arrive pas à en sortir de cette boucle !

Depuis maintenant plus de deux ans, tes silences, tes refus, ne m'aident pas à me sortir de cette boucle. Ils devraient. Je sais, oui, que ça devrait : tout le monde, ou presque, pense ainsi, à part moi.

Tu penses sans doute que je devrais comprendre que je n'ai rien d'autre d'important à savoir, à comprendre, et à admettre, que le fait que, simplement, tu ne veux plus entendre parler de moi. J'essaie vraiment de me dire cela : qu'il n'y a rien d'autre d'important à savoir, à accepter  et à admettre, pour moi, que, simplement : tu ne veux plus entendre parler de moi.

Je n'y arrive pas !  Je n'y arrive pas ! Je n'y arrive pas ! Je n'y arrive pas ! Je n'y arrive pas ! Je n'y arrive pas !  Stp, S., acceptes que l'on se parle ; acceptes de tenter de m'aider, autrement que comme sans doute tu as pensé essayer de le faire, et pense peut-être encore essayer de le faire, à travers tes refus et tes silences.

Je me souviens de tes paroles : "Et je me dis que ça ne sert à rien d'essayer d'être gentille avec toi, car autrement, tu vas te faire des illusions..." Je n'ai pas réussi alors, je crois, à te répondre quoi que ce soit. C'était dans la chambre de ma mère, la dernière fois, ou l'avant dernière fois, quelque chose comme ça, où tu es venu chez elle. J'étais assis sur le lit de ma mère. Toi, tu étais à coté de la table.

STP S., acceptes que l'on se parle. Entends ce SOS.

Peut-être, oui que cela ne servira à rien... Je ne sais pas. Je ne sais plus rien. Je sais juste que j'ai mal et que je n'arrive pas à en sortir. STP S., acceptes que l'on se parle, acceptes de m'écouter, de me répondre, de me dire tout ce que tu as en toi me concernant, d'écouter ce que je pourrais répondre ; acceptes de dialoguer avec moi. STP S., acceptes, acceptes, acceptes.

18/02 matin : S., je ne sais pas comment te faire percevoir ce que je ressens. Je ne sais pas comment te faire sentir à quel point, ce dialogue, cet échange, c'est important - le mot est faible - pour moi. STP S., acceptes.
18/02 soir : Je ne sais pas si tu as lu ce post. Si tu l'as lu, je ne sais pas quoi ajouter pour que tu comprennes à quel point... STP S., acceptes. Je te souhaites une bonne nuit. Pas d'ironie dans ce souhait. Il est sincère.
20/02 soir :  Si tu me lis, et que tu mesures à quel point c'est important pour moi, et que tu ne répondes pas, alors c'est terrible, terrible, terrible. En es-tu arrivée à me haïr à ce point ?

21/02 soir : Tu t'en fous ? Faut que je fasse quoi pour que tu comprennes, que tu mesures, que tu réagisses ? Faut que je fasse quoi, faudrait que j'en arrive à quoi ?  STP S., acceptes.

mercredi 15 février 2017

Hier, c'était....

Hier, c'était.... la Saint Valentin, la fête des amoureux.
Cela m'a demandé des efforts hier matin pour te souhaiter une bonne journée.
Avec ce mot dans ma tête : "Saint Valentin".
Avec la pensée triste pour moi que quelqu'un hier puisse te souhaiter "Bonne fête mon amour".
Cela peut te sembler bête ; mais cela m'a demandé des efforts sur moi, en moi, de te souhaiter une bonne journée hier, avec ces pensées là en moi.

Cela a été une journée triste pour moi cette journée d'hier. Et pour toi ? Et toi, qu'as tu vécu hier ? Et toi, qu'as tu éprouvé hier les fois où en toi sont venus les mots "Saint Valentin" ?


Dans ce que je ressens, elle aurait pu être tellement belle cette journée si...
Dans ce que je ressens, la prochaine Saint Valentin  pourrait être tellement belle si....
Toi, que ressens-tu ?

Hier au soir, n'y tenant plus, je t'ai envoyé un SMS te demandant de m'accorder de pouvoir te voir, te parler, t'écouter.
Tu n'y as pas répondu, en tout cas, pas pour l'instant.
Stp, S. , acceptes, acceptes, acceptes. Je t'en prie.

mardi 14 février 2017

Bonne journée

Bonne journée, bonne journée, bonne journée, bonne journée, bonne journée, bonne journée, bonne journée, bonne journée, bonne journée, bonne journée, bonne journée....

lundi 13 février 2017

Vacances

Bon début de vacances à K. et E.

Tu t'en fous, ou cela t'agace, ou cela t’attendrit que je souhaite cela, et que je pense à cela, "de si bon matin" ?

Je préférerai que cela génère en toi des pensées, des sensations positives.
Je me demande laquelle des deux semaines passeront avec toi, et laquelle ils passeront avec leur père.
Je me demande si ils iront skier comme il y a deux ans.

J'aimerai te voir, pouvoir te parler, un soir, un jour, où ils ne seront pas avec toi.
Si seulement tu m'envoyais un SMS pour me dire : "OK."

Bonne journée à toi.

mercredi 8 février 2017

Je suis réveillé, et vlan

Je suis réveillé, et vlan....
Et vlan..... je pense à toi !
Envie, non.... besoin !!! sensation de BESOIN  de te parler.

J'arrive décidément pas à changer de livre.
A ne plus ressentir de t'aimer. Je t'M, je t'M, je t'M, toujours. Est-ce vraiment con ?

Il faudra bien que j'arrive à te parler.

Stp, stp, stp.

Bonne journée, à toi, à K., à E. ..... Pfffffffffff. Snif. Douleurs.

Ne t'en fous pas, stp. Ne t'en fous pas, stp.

STP.

mardi 7 février 2017

C'est pas ce soir

C'est pas ce soir que je réussirai à relater cette foutue anecdote.

C'est pas ce soir que....

mais....

et....

tjrs, tjrs, encore, encore, tjrs, tjrs, encore, encore, tjrs, tjrs, encore, encore, tjrs, tjrs,

Pauvres mots !!!!