dimanche 25 septembre 2016

Demain

Demain, l'anniversaire de ta maman. Pensées.

Aujourd'hui, j'ai été cherché la mienne pour qu'elle puisse manger à N. avec P. et moi.

Si tu veux passer lui faire un petit coucou, ne te gène pas ! La porte t'est ouverte.

Je partais, tu arrivais

Ce samedi, j'ai aperçu ta voiture arriver devant chez toi. Moi, je repartais de la Maison de retraite après y avoir déposer P.  Je ne sais si tu a alors repéré la mienne.
J'avais envie de m’arrêter pour t'apercevoir au moment où tu descendrais de voiture. Et peut-être aussi K., et E. Peut-être reveniez-vous tous les trois du basket (K. en fait peut-être toujours), ou de courses....
Finalement, je ne l'ai pas fait ; je me suis dit que cela t'importunerait. Je n'ai pas voulu que tu dises que je t'espionnais.

J'imagine en plus, si ce n'était pas avec K. et E. que tu étais ; mais quelqu'un d'autre !

J'aurais bien aimé pourtant t'apercevoir. Ton image me manque. Tu me manques toujours autant.

samedi 24 septembre 2016

Aujourd’hui



C’est le début d’un weekend avec mon petit frère aujourd’hui.

Aujourd’hui, en allant chercher P. sur les coups de 18h30 heures, l’atmosphère automnale qui régnait quand je roulais avait pour moi une texture qui me renvoyait totalement vers toi. En particulier, un je ne sais quoi d’automne 2013 quand je faisais des vendredis soir le trajet de B. à V. pour te rejoindre, empli d’impatience.
Souvenirs confus de plaisirs d’automne encore un peu ensoleillé avec toi
Aujourd’hui toujours, j’ai été déjeuner un kebab. Sur la télé de la salle : le clip « Cette année-là » de M. Pokora.  Pensées pour E. Je suppose qu’elle aime toujours. J’aurais eu envie de la voir regarder ce clip, de voir ces réactions en regardant ce clip, d’entendre sa voix, etc.

Aujourd’hui encore, en écrivant ces lignes, « comme d’hab ». je me demande ce que tu fais pendant que j’écris ces lignes, et « comme d’hab », blablablabla.

Bonne nuit.

mercredi 21 septembre 2016

Mes essentiels

Tu me manques, ton amour me manque, tes enfants me manquent.
J'aspire toujours à....
Je ne désespère toujours pas totalement de...

Mes essentiels sont là, dans ces phrases qui précèdent celle-ci.

Si tu lis cela,  tu en penseras ce que tu en penseras.

Quoi qu'il en soit :

"Tu me manques, ton amour me manque, tes enfants me manquent.
J'aspire toujours à....
Je ne désespère toujours pas totalement de...
Mes essentiels sont là, dans ces phrases. "

Peut-être que tu liras ces mots, dans les heures, ou les jours qui suivent le moment où je les ai écris.
Peut-être pas.
Si tu les lis, dans les heures, ou les jours qui suivent le moment où je les ai écris, qu'est-ce que cela t'auras fait de les lire ?

J'aimerai le savoir.
Le cas échéant, m'accorderas-tu de le savoir ?

Si tu les lis, dans les heures, ou les jours qui suivent le moment où je les ai écris ,et que tu ne m'accordes pas de savoir ce que cela t'auras fait de les lire, je te trouverais sans doute mille raisons acceptables que tu ne le fasses pas.

Ce sera surement ainsi. Il n'empêche, j'aimerai le savoir :-) !

Si tu lis ces lignes, dans les heures, ou les jours qui suivent le moment où je les ai écris, qu'est-ce que cela t'auras fait, à ce moment là, cette pensée que :

"Tu me manques, ton amour me manque, tes enfants me manquent.
J'aspire toujours à....
Je ne désespère pas totalement de...

Mes essentiels sont là."

Bonne nuit à toi, Steph, cœur, amour, si tu lis ces mots avant de te coucher.

vendredi 16 septembre 2016

Comprendras-tu ?



Cet après-midi, en fumant une clop devant l'immeuble où je bosse, j'ai vu passer devant moi avec, j'imagine sa mère, une fille de l’âge de E. qui lui ressemblait au point où j'ai cru un instant que c'était elle.
Mon regard posé sur elle a croisé le sien. Échange de sourire. Avec celle que j'imagine être sa mère aussi.

Pincement au cœur.

Il y a toi dont j'aimerais reconquérir l'amour.
Il y a tes enfants qui me manquent aussi toujours, d'une autre manière.
Deux blessures distinctes.
Ce soir, je veux revenir sur la seconde de ces deux blessures.

Pour toi tes enfants comptent plus que tout, alors dès que je les ai vus, j'ai voulu les accueillir dans ma vie à bras ouverts.
Tu comprends ?

Et te souviens-tu comme je me souviens de ma première rencontre avec eux, de ces moments où tu as fait les présentations ? J'aimerais que oui...

Très vite, je me suis projeté dans un projet de vie avec toi (peut-être en as-tu douté, notamment dans les ?mois ? ?semaines où tu as décidé de rompre).

Quel projet de vie avec toi possible, sans projet de vie avec eux !!! ????
Tu comprends ?

Je me suis mis à les aimer, sincèrement, profondément.
Tu comprends ?

Tu as arrêté de m'aimer, tu as décidé de rompre.
C'était ton droit le plus strict.
Je le comprends, même si j'espère toujours un jour reconquérir ton amour.

Toutes mes insistances à ton égard.
Toutes mes insistances à l'égard de tes enfants.
Tous tes refus à l'égard de mes insistances à ton égard.
Tous tes refus à l'égard de mes insistances à l'égard de tes enfants.
Spirale infernale où bien malin qui peut dire qui de l'œuf et de la poule a le plus fait l'autre.
Tu comprends ?


Tes enfants et moi, c'était fort pour moi.
C'était, je crois, fort pour eux aussi.
Cela restera toujours fort pour moi.
Pour eux, je ne sais pas ; même si rien depuis ne m'a jamais donné à penser qu'ils avaient perdu toute affection à mon égard.
Mais je peux me tromper ; je peux avoir mal perçu à travers le prisme de mes sentiments les quelques échanges que j'ai pu avoir avec eux depuis. Loin des yeux, loin du cœur, peut-être que cela marche pour eux.
Loin des yeux, loin du cœur, cela en revanche ne marche toujours pas pour moi.

Dans la foulée de ta décision de rupture, et confronté à mes insistances, sans doute as-tu sincèrement cru que je cherchais à prendre tes enfants "en otage".

Cela dit, quand je me remémore les enchainements à travers mon prisme, je me dis que tu as eu peur de la force de ce qui s'était tissé entre tes enfants et moi. Oui, je peux me tromper ; mais je crois que dans la foulée de ta décision de rupture, au moins inconsciemment, tu as pris peur de la force du lien qui s'était tissé entre moi et tes enfants.
 
Comment tourner la page de notre relation sans mettre un terme à celle qui me liait à tes enfants ?

Moi je crois que c'était possible. Moi je crois que je pouvais changer de rôle, passer du "le copain de maman" à "l'ex copain de maman", sans que cela implique nécessairement la coupure que tu as mis en place entre tes enfants et moi. 

Comprends-tu ce que je veux dire ?

Cela t'est apparu impossible.
Cela te serait-il paru possible si j'avais mieux supporté la brusquerie de la séparation d'avec toi, d'avec eux ? Je ne saurais le dire. J'avoue ne pas en être certain.

J'aimerais bien savoir ce que tu en penses avec le recul du temps....

J'ai l'impression de percevoir les mécanismes qui se sont enclenchés et je ne connais guère qu'une personne qui comme moi pense qu'il aurait pu en être autrement.

Pour autant je n'arrive toujours pas à croire qu'il n'aurait pas pu en être autrement.
Et je n'arrive toujours pas à croire qu'il ne pourrait pas en être autrement.

Même si je devais échouer à reconquérir ton amour.

Avec le recul du temps qui parfois réussi à apaiser, comprends-tu que je puisse ressentir cela ?
Comprends-tu cette affection que je garde en moi pour tes enfants ?
Comprends-tu le pincement au cœur que j’ai éprouvé cet après-midi ?

Avec le recul du temps...
Comprends-tu… comprends-tu… comprends-tu…

mercredi 14 septembre 2016

Tu pourrais en rire ou en sourire

Ce matin, sur le trajet me menant au boulot à Na., je pensais intensément à toi, à ce "nous" dont je souhaite toujours le renouveau, à la fin de ma période d'essai qui devrait, j'y crois de plus en plus, se terminer positivement, le 10 du mois.

Je pensais intensément à tout cela, à ce que j'aurais envie de te dire, de t'écrire quand je serais certain que...

Je pensais intensément à tout cela durant le trajet, et en garant la voiture, et en fermant la voiture... Et, zut ! Argh ! Pas glop, pas glop :  les clefs laissées à l'intérieur. :-( Snif. Enfin, snouf, plutôt, je trouve. J'aimerais que cette mésaventure te fasse rire ou sourire. J'aimerais bien te voire sourire gentiment de  cette mésaventure !

J'ai échappé aux 90 € de dépannage grâce à mon frère  C. qui est passé à Ne. prendre le double des clefs pour le l'emmener à Na. avant de rentrer chez lui. Merci à lui.

Vivement le 11 octobre ! Non ?

lundi 12 septembre 2016

Bonne semaine

Bonne semaine. Je te souhaite une bonne semaine. Je vous souhaite une bonne semaine. A toi, à K. et à E.

Je suis passé dans ta rue ce matin en allant en retard chercher ma mère à la Maison de retraite.

Pas pour "espionner", pas pour "narguer". Pas dans l'espoir d'apercevoir K. ou E. D'une certaine manière, plutôt l'inverse :  complétement "à la bourre",  je me suis dit que c'était le seul endroit où je pourrais passer à la hauteur de K. ou de E. sans m’arrêter, sans regretter de ne pas m’arrêter, et en étant certain qu'ils préfèreraient que je ne m’arrête pas.

Au cas où tu m'aurais aperçu, tu sais au moins, si tu lis ces lignes, qu'est-ce qui a fait que je suis passé par ta rue pour aller à la Maison de retraite. Bref.

Bonne semaine. Je te souhaite une bonne semaine. Je vous souhaite une bonne semaine. A toi, à K. et à E.


dimanche 11 septembre 2016

Pensée nuit Samedi / Dimanche

Je me couche en pensant à toi.
Et je me demande ce que tu vis en ce moment.
Et je me demande aussi si c'est toi qui est venu sur ces pages il y a un peu plus d'une demi-heure ; à 23h46 me dit l'ordi.
Et...

mardi 6 septembre 2016

Tu n'auras pas lu hier soir

Tu n'auras pas lu hier soir mon post d'hier soir.  Alors... c'est le "bonne journée" qui vaut ! :-)

lundi 5 septembre 2016

Comment vas-tu ?

Comment vas-tu ? Je t'imagine, au moment où  j'écris ces lignes, en train de regarder peut-être Duel sur la 5, allongée sur ton canapé. Gagné ? Perdu ?

Je voudrais que tu ailles bien, et que se redessine en toi l'envie de ce nous auquel je crois toujours, de ce nous auquel j'aspire encore et encore.

Je voudrais SAVOIR que tu vas bien ! SAVOIR aussi que se redessine en toi l'envie de ce nous auquel je crois toujours, de ce nous auquel j'aspire encore et encore. Mais j'imagine que c'est trop demandé. Lol.

Je souhaite que K. et E. aillent bien eux aussi.

Bonne fin de soirée, ou bonne nuit, ou bonne journée suivant le moment où tu liras (peut-être) ce post.

jeudi 1 septembre 2016

TU....

J'espère que TU, en cette journée de rentrée, as passé une bonne journée et une bonne soirée.
Que K. et E. ne t'ont pas (trop ?) pris la tête sur le registre "ça va pas parce que ..."
J'aurais aimé passé cette journée avec toi, et que tu puisses, le cas échéant, en déverser le "trop plein" sur moi.
TU me manques, NOUS me manque, et comme d'hab, ce manque est encore plus lourd dans les journées "spéciales" que dans les autres. Question de décalage entre ce que je rêverais et ce qui est... Les journées "spéciales" marquent cela de manière plus intense....
TU me manques. Je TU aimes tjrs....

Je suis à un doigt de t'envoyer un SMS exprimant : "Alors, cette rentrée ?" Il faut que je résiste à cette impulsion.... Mais le cœur y est !

TU... Je me demande : "où en es TU de tes ressentis à mon égard ? où en es TU de tes ressentis à l'égard de ce NOUS (à nouveau), ce nouveau NOUS dont je rêve ?

J'aimerais que la force de mon amour à ton égard régénère le tien à mon égard.

Bonne nuit à toi.