mercredi 16 août 2017

Epilogue ?



Quatre minutes de messages désemparés de ma part sur ton répondeur de mobile, puis 2 minutes d'un second message de ma part sur le même répondeur, un second message tout aussi désemparé que le premier, puis un SMS de moi à toi, et ensuite 5 mn d'appel de ta part. Ces minutes-là, ce 15 août 2017, entre 17h30 et un peu plus de 18h00, doivent marquer un tournant dans ma vie.

Durant ces minutes-là, j'étais dans le coin de chez toi. J'y étais venu poussé par l'envie intense de te voir. Aussi avec l'espoir de voir K. ou E. sur la fête foraine. Je les pensais en vacances avec leur père en juillet et avec toi au mois d’août comme… « à l’époque ». J’ai dû me tromper.

J'avais pris dans mon sac les cadeaux que je leur avais acheté pour Noël 2014. Je ne sais pas si je leur aurais donné si je les avais vus à cette fête…Tu en penseras ce que tu en penseras, de ce fait que j'avais pris ces cadeaux-là dans mon sac... Je n'ai pas de pouvoir là-dessus !  Je n’ai pas de pouvoir sur ce que tu penses et ressens.
Un signe d'une certaine forme de folie (ie, d’une manière de vivre les choses qui n'est pas dans la norme, et à ce titre, n'est pas perçue comme normale par "les autres") ? Surement. Qu’il en soit ainsi s’il doit en être ainsi. Un signe d'amour persistant, aussi. Cela, je le revendique ; même si cela t’apparait sans fondement.
Je me répète : si tes enfants, un jour, ont besoin d'une aide que je pourrais leur apporter, ils pourront compter sur moi, je ferais tout ce que je peux pour eux. Je n’ai même pas de mérite à cela : c'est simplement que je ne pourrais intérieurement pas faire autrement ! Il en va de même pour toi. C’est peut-être con ; mais c’est ainsi.

J'étais donc dans le coin de chez toi. J'y étais venu poussé par l'envie intense de te voir. Envie faisant suite aux un peu plus de trois ans écoulés depuis ta décision de rupture, à tout ce qui a suivi depuis, et en particulier à mes deux dernières "crises" te concernant : celle de ton anniversaire, ainsi que celle de l'anniversaire de ma mère. La précédente devait être celle de Pâques, et, « celle d'encore avant », celle des vacances de février ! J'en oublie peut-être.... Je n'ai pas l'envie, ni le courage, là, de consulter, ni les SMS que j'ai pu t'envoyer, ni ce que j'ai pu écrire ici, pour me rafraichir la mémoire. :-(

Cette envie intense de te voir, je te l'ai dit dans l’un des deux messages téléphoniques, s'était cristallisée les heures précédentes dans un échange téléphonique que j'ai eu avec un premier contact Badoo. Réinscription sur Badoo (et je vais faire aussi Meetic…) liée à mes dernières crises te concernant et à l'approche de mon licenciement. En parallèle, relance aussi de mon compte FB, où j'ai changé dans les jours précédents, photo de couverture et photo de profil. J'avais délaissé FB depuis les vacances de février.... Juste utilisé Messenger pour envoyer les messages que donc tu sais à K. Pourquoi ces actions-là ? J'ai une trouille bleue : si je n'arrive pas à avancer, à « résister », comme dit la chanson de France Gall, je vais sombrer complétement. Mon mal de toi, mon licenciement, les deux conjugués, c’est énorme sur mos dos, mes épaules, mon âme. Je me souviens de ce que j’ai vécu durant le premier semestre 2016. Je ne veux pas sombrer ; il faut que je m’inscrive dans une dynamique avant octobre.

Comme je te l'ai dit, au cours de cet échange, alors que je m’étais juré que cela n’arriverait pas, tu as très vite envahie la conversation. On fait beaucoup mieux comme approche de drague !!! A l’issue, mélange de panique et de désespoir. Ne te moque pas. Ce n’est pas bien de se moquer d’une ambulance qui passe ! Tu m’as dit au téléphone que j’avais un égo démesuré ; peut-on avoir un ego aussi énorme que celui que tu dis que j'ai, et vivre les choses comme je les vis, me trainer plus bas que terre comme je le fais à ton égard ?

En moi, à l'issue de cet échange avec cette femme - qui a sur photo la même couleur de cheveux que toi ; pffffffff - ces pressions internes : comment "me libérer de toi", passer à autre chose, faire le deuil, à défaut de pouvoir reconquérir ton cœur ?

Depuis des mois (des années ?), je voulais te revoir pour le plaisir de te revoir, entendre ta voix de vive voix pour le plaisir qu'elle a pu me procurer (j'adore ta voix tout à la fois un peu rauque et aigue),  t'exprimer ce que je ressentais autrement que par écrit, te poser les questions que je t'ai posées par téléphone, avoir tes réponses, et réussir à trancher entre ces deux options : 1) reconstruire notre amour est possible ; 2) il est vraiment suicidaire pour moi que je ne réussisse pas à faire le deuil de notre relation.

Résultat : je n'ai pas eu le plaisir de te voir, entendre ta voix en colère au téléphone a été douloureux, et il est vraiment suicidaire pour moi que je ne réussisse pas à faire le deuil de notre relation. Acte enfin de ma part ? Je l’espère ! M’appuyer sur le fait que j'ai eu tes réponses aux questions que je t'ai posées. Même si ce n’est que par téléphone. Je t'en remercie.

Je suis donc venu vers chez toi en mode panique, comme quelqu'un possédé et en recherche d’un exorcisme. C’est l’image qui me vient à l’esprit. Jamais, crois-moi, depuis trois ans, je n'avais trainé à pied autour de chez toi ! Je m'y suis juste arrêté en voiture les deux fois où je suis venu sonner à ta porte : en 2014 quand j'ai déposé les paquets de bonbons sur ta voiture et le jour de l'anniversaire de ma mère. C'est te dire si c'était intense, ce qui m'a conduit là, aujourd'hui.

Si j'écris tout cela ici, c'est à la fois dans l’espoir que tu acceptes de le lire et m’accorde une dernière forme de compréhension  et de "pardon" : même si je te perçois comme autant responsable que moi du cercle de mes insistantes et de tes refus, je mesure ta patience à mon égard de la situation où nous nous sommes enferrés : elle vaut bien la mienne ! Je l’écris aussi pour moi : pour le lire et le relire, en entier, ou en partie, chaque fois que je serais sous l'empire de l'envie de t'envoyer un SMS, de t'appeler, ou de t'écrire à nouveau ici.

De ce que je me souviens "à tiède", tu m'as exprimé, en  vrac :

Qu'est-ce que c'est que revenir jusqu'à mon immeuble et de traverser le parc ?
Et en plus tu te caches ! […] C'est que tu sens que cela pourrait être qualifié de harcèlement ? Tu épies ? Il te faut des jumelles ?
Je n'en peux plus. Tu nous mets sur les nerfs ! On en peut plus. Les enfants n’en peuvent plus non plus. Mon copain n'en peut plus non plus.
La gendarmerie a tout : tes SMS, tes messages à K., l'adresse du blog. Il suffit que je demande pour que tu fasses l'objet d'une injonction  d'éloignement et que tu sois interdit de t'approcher de moi de moins de xxx (j'ai raté le nombre) mètres.
Qu'est-ce que tu veux encore comme explications ? J'ai tout dit !!!! Cela fait trois ans que cela dure ; tu te rends compte ??? Tu ne te rends pas compte ? Tu en as connu des autres  dans ta vie. Alors ? Trois ans... tu te rends compte ? Tu es malade, tu es complétement malade ! [J’aurais dû te dire que oui, j'en ai connu des autres.... ; mais personne dont in fine, j'aurais été aussi amoureux que de toi. Et malade… malade d’Amour.]
Tes petits travers [qui ne m'ont plus amusé], je te l'ai dit : le fait que tu remettes tout au lendemain. Il te faut 4 jours pour faire le moindre truc ! Je ne suis pas comme ça. Moi, il faut que ça aille vite. Le fait que tu fasses passer ton boulot avant tout. Ton boulot, et le reste aussi ["le reste aussi", je ne suis plus certain de l'expression ; mais il me semble que c'est un truc comme ça, et que ça renvoyait aux manières connes dont je n'ai pas su gérer les choses à l'égard de mes enfants, de leur mère, de mon divorce non entrepris au moment de ta décision de rupture, et de tout ce que cela m'a coûté au sens propre comme au figuré…]. Il n'y avait rien d'autre.
Mes enfants, pourquoi je n'ai plus voulu que tu les vois ? Parce que tu es trop possessif. Tu ramènes toujours tout à toi. Relis tes messages, tes posts ! "Moi... moi... moi... " Tu n’en as jamais que pour toi ! Ne t'en rends tu vraiment pas compte ? Faut vraiment que tu aies un ego démesuré !
Ta mère ? Oui, c'est parce qu'elle a un lien avec toi. Tu te serais encore dit : elle continue à voir ma mère, alors peut-être que... Et moi, je n'ai plus voulu, je ne veux plus, avoir quelque relation que ce soit avec toi.
Et c'est quoi ces reproches ? Je n'ai pas de leçon à recevoir. Je vis ma vie comme je l'entends.
Je te le répète ; je te l'ai déjà dit une fois : sors de ma vie une fois pour toute !
Et arrêtes d'envoyer des messages à K. Ça le saoule. Lui non plus, il n'en peut plus. Il ne les lis même plus ! Il me les passe pour que je les lise.
Je te le dis / demande une dernière fois : laisses moi tranquille, sors de ma vie.
Laisses nous tranquille tous les trois, tous les quatre. Le quatrième, tu ne le connais pas ; mais lui non plus, n'en peut plus. 
J'ameute tout l'immeuble tellement je crie ! C'est quoi si ce n'est pas du harcèlement ? [J'aurais dû te répondre que c'était de l'Amour, de l'Amour fou peut-être ; mais de l'Amour...] Tous tes messages, tes appels, que tu sonnes à ma porte ? Arrêtes, arrêtes ; c'est la dernière fois que je te le demande. Je t'ai encore répondu cette fois-ci.  Mais c'est la dernière. C'est compris ? Ok ? Ok ?

Je crois que je  t'ai répondu un piètre OK....

Ai-je oublié quelques choses ? C'est sans doute con : j'aimerais vraiment que tu le lises ce post. Et que tu me dises en commentaires si j'ai oublié quelque chose de tes mots qui se seraient caché dans mon inconscient pour me conduire à échouer dans ma volonté d'aller de l'avant…
Il faut donc que je tourne la page, que je dépasse le traumatisme de ta décision de rupture en m'appuyant sur les mots que tu m'as accordé aujourd'hui, en les acceptant comme solde de tout compte pour notre histoire d’amour échouée il y a maintenant plus de trois ans. Que ne t'envoie plus de SMS ! Que je ne te laisse plus de message téléphonique ! Qu’aussi j'arrête d'écrire ici ! Et je ne sais ce que tu as lu, ou pas sur ce blog, quelle est la dernière fois où tu m’as lu.

Bref, que je respecte tes volontés.

Il faut que j'y arrive. Il faut que j’y arrive. JE DOIS Y ARRIVER.

Tu m'as dit que tu avais un copain. Je m'étais mis connement  dans la tête que tu avais plutôt une copine. Au moins, je ne t'ai pas dégouté des hommes ! C’est déjà ça. Sincèrement, c'est un soulagement.

Je l'envie ton copain. A un point...pffffffffff. !!!

J'ai donc tout gâché de notre histoire d'amour par ces foutus travers que tu as évoqué. C'est trop con. En tout cas, moi, je trouve que c'est trop con.

D’autant que depuis, je me suis libéré du problème de mon rapport au boulot ; les mirages que j'y associé se sont envolé avec ta décision de rupture et mon atterrissage par rapport à ce que je devais à mes enfants. Oui, je me suis aussi libéré de mon rapport maladif à "ce reste" que tu me sembles avoir évoqué, en creux,  à demi-mot.  Parallèlement, j'ai divorcé. Et je suis venu m'installer dans le coin avec l'espoir de .... Blablabla - je ne te refais pas le dessin. Raté aujourd’hui en tout cas.

Lutter contre mon côté "2 de tension"  (pour reprendre une expression que je crois tu as eu un jour !). ce n’est pas encore gagné sur tous les registres ; mais avec toi à mes côtés pour me booster, je ne doute pas que cela aurait pu l'être, à défaut de le serait.

Je me demande comment il est, ton copain !

Pensée (con ?) : l'alchimie entre toi et lui est-elle aussi forte qu'il me semble qu'elle l'a été entre nous aux moments les plus forts de notre relation ? Tu te souviens ? Bien évidemment, je n'espère pas de réponse là-dessus.

Je me demande aussi si vous vivez ensemble au quotidien. Je ne le crois pas. Il ne me semble pas.
Je me demande s’il souhaiterait d'épouser, comme je serais tellement heureux de le faire ! Je crois profondément que toutes les fois où je t’ai entendu rejeter l’idée du mariage, c’est parce que tu accordes à ce symbole une grande valeur. En dépit de tes dénis.
Je me demande ce qui vous retient d'acheter une maison ensemble, de construire un avenir vraiment commun ensemble, avec K. et E. à vos côtés. Comme je l’ai souhaité, comme j’en rêverais encore si c’était possible. Peut-être qu’écrivant cela, je vais accélérer la cadence ; quelle horreur pour moi L ! Tu vois, sur ce registre, je ne serais pas aujourd’hui 2 de tension si c’était possible entre nous. Ce serait aussi vite que tu le pourrais !

Je me demande si il aimerait avoir un enfant de toi (je pense que tu le pourrais encore), comme je pourrais le vouloir aujourd'hui et comme j'ai été incapable de t'y inciter quand cela, je crois, au risque de me tromper, aurait été possible entre nous si j’avais embrayé sur les élans d'alors de K. et surtout de E. Tristesse.

Quand le projet K a cédé la place au projet D, j'aurais dû profiter de l'occasion qui m'était alors offerte pour quitter la région parisienne et blablabla ! Je regarde parfois la photo où tu tiens dans les bras le fils de Christelle. Tu te souviens ? Mon cœur est alors empli de peines en me disant qu'à l'époque j'aurais dû... blablabla. Malheureusement, impossible pour moi de réécrire l’histoire.

Je me demande comment ton copain est avec K. et E. Le courant passe-t-il autant qu’il me semble qu’il passait entre moi et eux ? Je me demande comment sont ses rapports avec K. et E. Je me demande comment...avec toute ta famille...........

Je me demande s’il t'aime autant que je t'aime toujours ! Cela est-il possible ? lol.

Je me demande, huile au chocolat, pierres chaudes, lattes du sommier, tes sourires et autres expressions de visage en faisant l’amour.

Je le demande ce que tu as vécu avec lui sur les chansons, les musiques sur lesquelles nous avons vécues ensemble des choses intenses.

Je me demande si tu l'aimes autant que je crois que tu m'as aimé...

Je me demande si tu refais avec lui la même erreur que celle qu’il me semble que tu as faite avec moi : ne pas exprimer assez fort ce que tu ressens de négatif, ne pas poser assez clairement tes « conditions », tes « exigences ».  Je repense à : « Divorce avant de …télétravail » ; « aéroport », « caves », « déménage pour te rapprocher de ton boulot », « eau chaude ».

Je crois que dire « tant que ça va, ça va et je quitte l’autoroute sans crier « gare » (avant) quand cela ne va plus », ça ne suffit pas pour construire dans la durée ! Si il y a un truc que je pense que tu devrais retenir de notre échec (a minima de notre échec ; ou aussi de celui avec le père de K. et de E. ?), je pense que c’est celui-là.

L’échec de notre histoire d’amour, c’est trop con. J’ai vraiment été trop con de perdre ton amour comme je l’ai perdu.

Je me demande aussi jusqu'à quel point tu es heureuse avec lui dans la relation que vous avez !

Je  me demande encore comment va ton bras aujourd'hui [En regrettant amèrement de t'avoir plantée ces deux fois-là pour retourner bosser au nom de pffffff - sensation que cela a participé "aux gouttes d'eau qui ont fait déborder le vase de ton ras le bol »]. Combien de temps tu pourras faire le job éprouvant physiquement que tu fais ? Je rêvais / souhaitais de pouvoir réunir les conditions te permettant de changer de job.

Je me demande bien sûr K. Et E. ……..

Je me demande, je me demande, je me demande.........

Mais il faut que je chasse tout cela de moi et, puisque tu le veux ainsi, que je tourne la page, a minima que j'arrête de "t’embêter".

Avant cela, je veux de redire, Stéphanie, plus exactement t'écrire à nouveau, que tu es la femme que je regrette le plus de toute ma vie. A quoi ça tient ? Je ne saurais le décrire en mots. Qu'as-tu de si exceptionnel à mes yeux, à mes oreilles, à mon esprit, à mon cœur, à mon corps périssable tout entier, et à mon âme si jamais nous en avons une ? C'est au-delà des mots que je peux trouver. La chose la plus "vraie" que je peux trouver à exprimer est : "je trouve que nous nous emboitions merveilleusement bien, exception faite de mes conneries, de mes erreurs, de mes travers."

A chaque fois que j'ai écrit que j'espère qu'à défaut de se rejoindre dans cette vie, nous nous  retrouverons dans une autre vie, aussi con que cela puisse être (on ne le saura jamais vraiment, ou seulement après notre mort), c'est profondément sincère, profondément vrai. Et je me demande si nous nous sommes déjà "raté" dans une vie précédente. Et combien de fois, le cas échéant. Aucune des références que j'ai pu faire à ta grand-mère, à ta "veille âme", et à cette nuit, , où nous avions parlé de cela, et qui a pour moi dans mes souvenirs un côté immensément magique, n'a été faite pour "t'emmerder". Ces heures-là que nous avons vécu ensemble sont je crois parmi les  heures où j'ai été le plus totalement moi de ma vie.

Je te souhaite plein de bonheur, S ! En cet instant, y compris avec ton copain. Contrairement à ce que j'ai dit dans l'un de mes deux derniers messages téléphoniques. C’est douloureux d’exprimer cela. Mais sincère. Sincère et douloureux. J'espère que cet état intérieur de ma part s'ancrera en moi durablement.

J’espère réussir à retrouver l’amour dans d’autres bras que les tiens puisque tu ne veux décidément plus de moi. Mais tu pourras toujours…

Les choses devraient faire que la mort me fauchera avant toi. J’espère qu’alors tu te souviendras de moi avec au moins un brin de tendresse ! Et, si je ne me trompe pas, quoi que soit le reste de vie, je crois bien que le jour de ma mort, si je sais que ce jour sera le jour de ma mort, je penserais à toi ce jour-là.

D’ici là, pourrons nous un jour avoir des rapports autres que ce rejet total en toi, et cette douleur en moi ? On verra bien…

Que ma mère me pardonne pour ce que je lui aurai enlevé depuis son entrée à la Maison de retraite. Votre relation comptait énormément pour elle, encore plus peut-être que ce que tu  m’avais dit qu’elle comptait pour toi au début de notre relation. Je te redonne la fin de son numéro de téléphone : 76 27 28. Tu devineras aisément les quatre premiers qui manquent. Je lui dirais Samedi ou Dimanche que je suis cause du fait que tu ne l’aies jamais appelé ni passé la voir. Tu feras ensuite ce que tu décideras de faire avec ce numéro, et par rapport à ma mère. Tu sais ce que je ressens à ce propos. Mais je ne poserais pas de questions, ni à toi, ni à ma mère. Et quoi que tu décides sur ce registre, ne le décide pas par rapport à moi.

Cela est dur pour moi, pardonnes m’en, de t’écrire cette dernière phrase que je vais écrire ici, dans ce post : « Bon vent à toi Stéphanie ! ».

dimanche 13 août 2017

En me levant ça allait ; mais là...

Ce matin, en me levant, ça allait. Mais là, depuis environ une heure, je sens la douleur qui monte, qui monte, qui monte en moi ; en moi, dans ma tête, dans mon cœur et mes tripes ; avec en toile de fond, toi, toi et l'absence de toute réponse de ta part à mes messages et mes demandes, toi et ton refus de tout échange ; toi, toi, toi ; et c'est terrible ; et tu n'en restes pas moins hermétique à toutes mes suppliques.

Comment fais-tu pour réussir cela ?
Combien de kilos de haine faut-il ressentir pour réussir cela ?

vendredi 11 août 2017

Départ en Vacances demain matin ?

Je  me demande si c'est demain matin que tu partiras en vacances comme  les années précédentes pour une semaine de vacances avec K. et E. loin de V.

Si oui, bonne fin de préparatifs, et bonne nuit, même si elle sera courte.

jeudi 10 août 2017

Sensation d'humiliation mais bonne nuit

Pas de réponse de ta part, ni à mes SMS, ni au message laissé sur ton répondeur, et ta porte fermé le jour où je suis passé (et je me dis maintenant que tu devais être chez toi ce jour-là).

Je me sens humilié.

Comme le jour où tu t'es servie de ta fille pour que je ne te vois pas au supermarché. A ce propos, et c'est toi qui un jour m'a fait le procès de tenter d'instrumentaliser tes enfants ! Cela n'a jamais été le cas me concernant. En revanche, sincèrement, qu'as tu fait ce jour là sinon INSTRUMENTALISER ta fille ?

J'en veux de tout ça et des autres choses que tu sais.

Et pour autant, je me sens toujours d'aimer ! C'est dingue ; mais c'est comme ça.

Pfff Pfff pff, comme tu dis.

Bonne nuit quant même.

Bonne nuit, S.

mardi 8 août 2017

21h22

21h22... C'est l"heure à laquelle  j'ai, semble--il, appuyé sur la touche "envoyé" pour t'envoyer le sms que je t'ai envoyé ce soir.
A la louche, pratiquement trois heures entre la premier mot posé et l'envoi !
Juges tu cruel ce long (très long, même !) SMS  ? Et les autres que je t'ai envoyé depuis Dimanche ? Et les autres au moment de ton  anniversaire ? Je ne les ressens pas ainsi. Je me trompe peut-être ; mais je ne crois pas.

Bonne nuit S. Beaux rêves, même si tu ne te souviens toujours pas des rêves que tu fais quand tu es endormie.

"Bisous nuit", comme je pouvais t'écrire autrefois !

E.

lundi 7 août 2017

Triste mur

Triste mur que le mur d'incompréhension dressé entre nous.
D'un coté, moi et mes insistances et mon appel à cet échange que tu ignores, rejettes, refuses. Je crois que si tu comprenais, tu accepterais cet échange que je te réclame. Faudra-t-il que ce soit à cris, pour être entendu ?
De l'autre coté, tes silences, tes rejets, ton refus de tout échange. Sans doute que si je comprenais, je n'insisterais pas. Mais je ne comprends pas.

Comment sortir de ce cercle ? Comment abattre ce mur, ou pour le moins y ouvrir une brèche ? 

dimanche 6 août 2017

Dors bien si tu peux

Dors bien si tu peux ; moi cela va être difficile.

C'est l'anniversaire de ma mère aujourd'hui

C'est  l'anniversaire de ma mère aujourd'hui, ma mère dont tu disais que ta relation avec elle comptait tant pour toi....

Je serais seul avec elle à N.
Je me souviens de cet autre anniversaire à elle fêté en ta présence. Tu te souviens ?

Tu peux passer  si tu veux. Il y a très peu de chance que tu le fasses ; mais tu peux passer si tu veux.

jeudi 3 août 2017