lundi 31 juillet 2017
lundi 17 juillet 2017
Ce qui fait que...
Ce qui fait que... il parait que cela s'appelle une assez profonde désespérance.
Personne n'est venu dan dans ces pages ce weekend. Et puis aujourd'hui, quelqu'un, quelqu'une, Windows / Firefox / France sur les coups de 14 heures.
Est-ce toi, S. ?
Mon envie / besoin de te parler est toujours là. Ne peux-tu vraiment pas accepter cela ? Ne peux-tu vraiment pas supporter d'accepter cela ? Dis-moi, dis-moi, ou écris moi, ici ou ailleurs. Je t'en prie.
Personne n'est venu dan dans ces pages ce weekend. Et puis aujourd'hui, quelqu'un, quelqu'une, Windows / Firefox / France sur les coups de 14 heures.
Est-ce toi, S. ?
Mon envie / besoin de te parler est toujours là. Ne peux-tu vraiment pas accepter cela ? Ne peux-tu vraiment pas supporter d'accepter cela ? Dis-moi, dis-moi, ou écris moi, ici ou ailleurs. Je t'en prie.
samedi 8 juillet 2017
Ce n'est pas que je me sois ressaisi qui fait que...
Du 16/06 au 07/07, trois semaines, trois semaines sans écrire ici.
J'ai relu hier mon post du 04/01/2015. J'y écrivais : "Il faut que je me ressaisisse, et que je te laisse tranquille, et que je te laisse vivre ta vie sereinement sans t'inonder de mes états d'âme..."
Ce n'est pas que je me sois ressaisi qui fait que je n'ai pas écrit à nouveau ici ces trois dernières semaines.
Il y a eu ton anniversaire.
Il y a eu mon SMS pour te souhaiter un bon anniversaire.
Il y a eu la lettre de convocation que j'ai reçu ce jour-là ; ce "cadeau" !
Il y eu le SMS que je t'ai envoyé alors.
Il y a eu ton appel le lundi matin qui suivait.
Je n'ai pas réécrit.
Il y a eu les SMS que je t'ai envoyé à la suite.
Il y a eu le coup de fil que j'ai attendu en vain.
Il y a eu la pensée que la petite attention de compassion que tu m’accordais était justement de ne pas me rappeler pour m'inonder de fureur.
Je n'ai pas réécrit.
Il y a eu ce samedi où à l'Inter, E. a d'abord eu un grand sourire quand elle m'a vu et s'est écrié : "Eric !" en venant m'embrasser.
Et puis, et puis, très vite, la transformation de son élan joyeux en gène.
Ma gène à moi aussi. Tristesse.
Et toi, te cachant ensuite pour ne pas ne pas me voir ! Je ne me suis rendu compte de cela qu'après être arrivé "à la caisse".
Et E. faisant le guet et ma paraissant trouver cela amusant.
Et moi à la caisse, transpercé.
Et moi ayant la sensation d'apercevoir ton visage juste avant de me retourner pour sortir.
Et moi ayant la sensation d'apercevoir alors un sourire satisfait sur ton visage.
Transpercé de part en part, cœur, estomac, gorge, tête.
Je n'ai pas réécrit.
Mais ce n'est pas que je me sois ressaisi qui fait que je n'ai pas écrit. "Non, non, non, non..." chantonne en moi une voix chargée de mélancolie. Comme dans cette si belle chanson de Marie Laforêt. Ce n'est pas que je me sois ressaisi. C'est autre chose. C'est tout à fait autre chose. C'est bien autre chose.
Aujourd'hui, c'est le début des vacances scolaires.
Aujourd'hui, c'est aussi le jour où j'aurais reçu ma lettre de licenciement.
Ce soir, j'ai envoyé mes souhaits de bonnes vacances à K., souhaits de bonnes vacances, pour lui, pour E., pour toi aussi quand tu partiras en vacances avec eux.
Ce soir, j'aurai réécrit. Ce n'est pas que je me sois ressaisi. C'est autre chose. C'est tout à fait autre chose. C'est bien autre chose.
Bonne nuit, S. Dors bien
J'ai relu hier mon post du 04/01/2015. J'y écrivais : "Il faut que je me ressaisisse, et que je te laisse tranquille, et que je te laisse vivre ta vie sereinement sans t'inonder de mes états d'âme..."
Ce n'est pas que je me sois ressaisi qui fait que je n'ai pas écrit à nouveau ici ces trois dernières semaines.
Il y a eu ton anniversaire.
Il y a eu mon SMS pour te souhaiter un bon anniversaire.
Il y a eu la lettre de convocation que j'ai reçu ce jour-là ; ce "cadeau" !
Il y eu le SMS que je t'ai envoyé alors.
Il y a eu ton appel le lundi matin qui suivait.
Je n'ai pas réécrit.
Il y a eu les SMS que je t'ai envoyé à la suite.
Il y a eu le coup de fil que j'ai attendu en vain.
Il y a eu la pensée que la petite attention de compassion que tu m’accordais était justement de ne pas me rappeler pour m'inonder de fureur.
Je n'ai pas réécrit.
Il y a eu ce samedi où à l'Inter, E. a d'abord eu un grand sourire quand elle m'a vu et s'est écrié : "Eric !" en venant m'embrasser.
Et puis, et puis, très vite, la transformation de son élan joyeux en gène.
Ma gène à moi aussi. Tristesse.
Et toi, te cachant ensuite pour ne pas ne pas me voir ! Je ne me suis rendu compte de cela qu'après être arrivé "à la caisse".
Et E. faisant le guet et ma paraissant trouver cela amusant.
Et moi à la caisse, transpercé.
Et moi ayant la sensation d'apercevoir ton visage juste avant de me retourner pour sortir.
Et moi ayant la sensation d'apercevoir alors un sourire satisfait sur ton visage.
Transpercé de part en part, cœur, estomac, gorge, tête.
Je n'ai pas réécrit.
Mais ce n'est pas que je me sois ressaisi qui fait que je n'ai pas écrit. "Non, non, non, non..." chantonne en moi une voix chargée de mélancolie. Comme dans cette si belle chanson de Marie Laforêt. Ce n'est pas que je me sois ressaisi. C'est autre chose. C'est tout à fait autre chose. C'est bien autre chose.
Aujourd'hui, c'est le début des vacances scolaires.
Aujourd'hui, c'est aussi le jour où j'aurais reçu ma lettre de licenciement.
Ce soir, j'ai envoyé mes souhaits de bonnes vacances à K., souhaits de bonnes vacances, pour lui, pour E., pour toi aussi quand tu partiras en vacances avec eux.
Ce soir, j'aurai réécrit. Ce n'est pas que je me sois ressaisi. C'est autre chose. C'est tout à fait autre chose. C'est bien autre chose.
Bonne nuit, S. Dors bien
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