MAJ 09/01 :
J'ai été bien puni de ma colère d'hier exprimé dans ce billet ci-dessous : elle a bien endommagé mon sommeil à moi ; j'ai passé une vraie nuit de merde.
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De la fenêtre....
... de la chambre de ma mère à la maison de retraite que tu sais.
Pas loin de chez toi !
En contrebas, maintenant que les feuilles des arbres sont tombées...
Ta rue, ton immeuble.
Et sur cette photo, cette voiture...
J'ai raté ton arrivée ! Je veux dire par là : je ne t'ai pas vu arriver :-). Tu n'étais pas là, chez toi, quand je suis arrivé, moi, à la maison de retraite....
Je me demande si ma mère, quand elle regarde par sa fenêtre....
Comme moi...
Parfois, jette un regard en direction de ta rue, et pense à...
Comme moi.
Ou si au contraire,
Evite de regarder en direction de ta rue.
Et pour, pense à....
Comme moi :-) ... :-(.
Je me garderais bien de lui demander ! Mais je sais que c'est l'un ou l'autre.
Et toi, parfois, quand tu sors de chez toi...
T'arrive-t-il de lever les yeux, la tête en direction de cette maison de retraite et de penser à.... ma Maman ?
A ma Maman !
J'aurais aimé que tu gères autrement que tu ne le fais l'importance que tu accordais à ta relation avec elle.
C'est si dur que cela que tu ne sois jamais passer la voir ?!
Même aujourd'hui encore, je pense que cela lui ferait plaisir, lui ferait chaud au coeur.
C'est sur qu'elle aurait au moins une larme au coin d'un oeil... Mais ça lui ferait chaud au cœur.
Il y a quelques jours, elle a trouvé dans sa chambre une petite corbeille de confiserie....
Je me suis dit que c'était peut-être de toi en ayant fait ce qu'il faut pour qu'elle ne le sache pas...
Et puis, je doute. Et puis j'en doute.
Je n'écris pas cela pour te faire mal.
J'écris cela parce que, parmi d'autres choses, la manière dont tu gères aujourd'hui l'importance que tu disais accorder à ta relation avec ma maman, me fait mal. Mal pour moi. Mal pour elle.
Si tu lis cela avant d'aller te coucher, saches que je n'écris pas cela pour endommager ton sommeil.
Mais l'idée que cela puisse l'endommager un peu, pas longtemps, juste un tout petit peu, comme dirais Lo. je dois bien l'avouer n'est pas pour me déplaire. Pas longtemps, juste un tout petit peu. Longtemps, non, ce serait con pour toi, pour K., pour E. et ton taf de demain.
Quand je suis grimpé à la Maison de retraite, je venais de Co. Aussi je suis passé par ta rue. Tout tes volets étaient fermé. Je me suis demandé, je sais, c'est con, "est-elle en amour avec quelqu'un ?". J'avoue que j'aime pas cette idée. Ou que ca tourne mal. Et que tu reviennes vers moi.
Que tu reviennes vers moi... Que tu reviennes vers moi... Que tu reviennes vers moi...
Ou que je réussisse à passer à "autre chose", à la recherche d'un nouvel amour !