vendredi 29 mai 2015

A la tienne !

Et hop, encore une gorgée en pensant à ton non-bonjour !

A la tienne ! "A ta santé !" comme on dit.

Je suis clairement malade de tous tes refus, de tous tes silences....

Est-on coupable d'être malade ?

Bon week-end à K. et E.

Te voir échanger avec Loane ; ne plus avoir aucune relation avec Elisa.... C'était "un peu dur" cela aussi.

De quoi suis-je coupable de continuer à vivre mal que tu m'aies complétement coupé de tout contact avec tes enfants ?

C'est dingue comme je ne te comprends pas et comme tu ne me comprends pas !

lundi 25 mai 2015

Malgrè tout (MAJ)

Bonne nuit à toi, malgré tout....

Beaux rêves à K. et E. qui, sans aucun doute, ne dorment pas encore.

Oui, tu peux plaindre C. ! C'est dégueulasse pour elle que tu hantes tant aujourd'hui encore mon esprit, pour ne parler que de lui. Je m'efforce pourtant de te chasser de moi, de te ranger au rang des souvenirs. Malheureux. Je ne m'en sens pas moins un peu sale de peiner à cet exercice. Elle mériterai vraiment que je réussisse enfin à ne plus penser qu'à elle, et non aussi à toi, quand je ne suis pas avec elle.

Mais, c'est dégueulasse aussi, je trouve, ce que tu m'auras infligé et m'inflige encore concernant K. et E. !

Oui, je me sens un peu sale de faire comme je fais, de sentir comme je sens, et par rapport à cela, tu as raison de plaindre C. qui ne mérite pas cela !!!  Mais, à ce propos, toi : te sens-tu propre et digne de tes comportements à mon égard ? Penses-tu sincèrement que je mérite vraiment cela ?

Si tu plains C. sans me juger ; OK tu as raison ! C'est effectivement triste et peut-être dangereux pour elle (cela me hante terriblement !) que je peine à ce point à faire le deuil de ton amour. A quoi bon lui avouer cela ? A lui faire mal ?

Peut-être j'y arriverai, à faire le deuil de ton amour  ! Et peut-être mon histoire avec elle durera longtemps, longtemps, longtemps, et deviendra 100% grande, et sans plus aucune tache, aucune zone d'ombre, en moi.

La manière dont je vis aujourd'hui TES comportements à mon égard, a minima depuis ta décision de rupture à au moins aujourd'hui, creusent ma tombe en m'entrainant à des comportements d'auto-destruction.

La manière dont je vis aujourd'hui SES comportements à mon égard, me maintiennent en vie et me (re?)tirent vers "le haut".

Si tu plains C. sans me juger ; OK tu as raison ! Mais si au passage cette compassion à son égard se mêle d'un jugement négatif  sur ce point précis à mon égard.... stp (aucune méchanceté de ma part dans ce propos ; juste immenses amertume et déception).... coures devant la glace de ta salle de bain, regardes ce qui de moi n'est plus dans ta salle de bain (le peignoir, la brosse à dent...), et demandes toi  : te sens-tu propre et digne de tes comportements à mon égard ? Penses-tu sincèrement que je mérite vraiment cela ? Où est la paille ? Où est la poutre ?

Bonne nuit à toi, malgré tout....
Beaux rêves à K. et E. qui, sans aucun doute, ne dorment pas encore.

Oui, c'est surement très con ; oui, c'est "dégueulasse" vis à vis de C. : pratiquement tous les soirs, à un moment donné ou à un autre, de manière certes plus fugace et moins douloureuse quand je suis à M., je pense explicitement à toi avec quelque regret.

Oui, c'est surement très con ; oui, c'est peut-être aussi sans doute dégueulasse, quelque part, vis à vis de C. : tous les soirs, à un moment donné ou à un autre, je pense à tes enfants que tu m'interdis, et ça me fait mal.

Bonne nuit à toi, malgré tout....
Beaux rêves à K. et E. qui, sans aucun doute, ne dorment pas encore.